Favoris du moments

Encore un article piqué aux youtubeuse : les trucs dont je ne peux pas me passer en ce moment, es découvertes etc., toutes catégories confondues. Prêts ?

1. Un gadget : mon aspirateur robot. Je ne sais plus si j’en ai parlé mais à Noël on m’a offert un aspirateur robot, et depuis, je me demande bien pourquoi je n’en ai pas eu un avant, tant il me fait gagner de temps et me permet d’avoir un appartement toujours propre : un petit passage tous les soirs, et c’est nickel ! Vraiment révolutionnaire !

2. Un plat : les tomates avec de la mozzarella, et en particulier de la mozzarella di bufala campana Barlotti, la deuxième meilleure au monde. Je ne peux rien dire de plus : c’est un de mes bonheurs de l’été. Je pourrais m’en nourrir exclusivement.

3. Un produit : l’huile essentielle de menthe poivrée. En ce moment j’en mets partout. Une astuce en cas de canicule (on ne sait jamais) : un saladier rempli de glaçons, quelques gouttes d’HE et vous mettez dans la chambre, ça rafraîchit un peu…

4. Une application : Trello, mais je vous en reparlerai à la rentrée.

5. Une activité : peindre des fleurs et des lunes à l’aquarelle et à l’encre. Je ne sais pas d’où me vient cette lubie, mais j’y passe des heures.

6. Un autre gadget : ma sodastream. Comme je n’aime pas l’eau plate mais que les bouteilles d’eau gazeuse ça va un moment, j’ai fini par investir et franchement là encore je me demande pourquoi je ne l’ai pas fait avant. Je fais essentiellement de l’eau gazeuse mais j’ai acheté une petite bouteille de sirop de citron, et c’est très très bon pour faire une sorte de limonade.

7. Un vêtement : mon body Make my lemonade. Cela faisait quelque temps que je voulais un body, vêtement que je trouve pratique et joli, et je voulais aussi tester la jolie marque de Lisa Gachet. En avril, j’avais donc pré-commandé l’un de ses modèles phares, le body Martha en noir, que j’ai reçu en juin. Et franchement je ne l’en passe plus : il est beau, extrêmement pratique et confortable, ça va être un de mes essentiels de l’été je sens, et il est possible que je me le prenne en rouge à la rentrée !

8. Une série : je suis en train de regarder la saison finale d’Atypical, et cette série me touche toujours autant !

9. Une gourmandise : la glace à la cacahouète (mais je n’ai pas encore goûté celles à la pistache et à la noisette) de mon chocolatier, Sébastien Papion. Bon, ok, toute la boutique de Sébastien Papion. Cela parlera aux orléanais, les autres n’hésitez pas à commander en ligne, notamment sa pâte à tartiner dont vous ne pourrez plus vous passer !

10. Et enfin un autre vêtement (deux…) : dernièrement je me suis acheté deux robes sur le site Boden (ce n’est pas que je suis prise d’une fièvre acheteuse, c’est que j’ai pris un peu de poids ^^) et vraiment, encore une fois, je suis amoureuse de leurs modèles : des robes jolies, confortables, qui tombent bien, et qui ont des poches !!!! Je ne vais donc pas les quitter de l’été !

Et vous, quels sont vos indispensables en ce moment ?

Bullet Journal : bilan à deux ans

Il y a presque deux ans, après un premier essai réussi avec ce qui m’était tombé sous la main, je me lançais dans quelque chose d’un peu plus élaboré. Avec l’idée que, me connaissant, ça n’allait pas durer forcément très longtemps. Et bien, heureuse surprise : si, et je suis en train de terminer mon premier carnet, qui aura donc couvert la période janvier 2017 – décembre 2018. J’en ai donc acheté un nouveau, puisque le machin est totalement intégré dans ma vie.

Je l’ai déjà expliqué, j’ai choisi un fonctionnement on ne peut plus simple :
– Pour l’organisation quotidienne, une page de garde par mois, avec les « choses à faire » que je n’ai pas encore casées un jour précis, et ensuite 1/4 de page par jour, sur lequel j’écris tout ce que j’ai à faire ce jour-là, et je coche au fur et à mesure que je l’ai fait. Mais sans code précis, c’est juste une case à cocher.
– Les pages plus globales, avec par exemple les listes des choses à acheter, les choses à faire pour organiser un voyage (réserver le logement / l’avion / le programme), les trucs à mettre dans la valise, les manuscrits envoyés et à quelle date pour faire un suivi…
– Des pages plus « lifestyle » avec des mantras, des souhaits, des bilans…
L’ensemble n’est pas débordant d’esthétique : je décore les pages a minima pour que ce soit joli et agréable, mais je n’y passe pas des heures (et de moins en moins), d’abord parce que je ne suis pas très douée, et ensuite parce que le but n’est pas que ça prenne un temps fou.

Pourquoi je suis adepte ?
– Je n’oublie plus de faire les trucs. C’était mon grand problème : les tâches pénibles, bizarrement, mon cerveau avait tendance à complètement les zapper.
– Je procrastine moins. Je ne dis pas « plus », mais beaucoup moins, car lorsqu’une tâche est indiquée clairement j’ai moins tendance à la repousser. Je trouve qu’il y a quelque chose de motivant dans le fait de cocher une tâche effectuée !
– Surtout, j’ai l’impression que ça m’aide à maîtriser le temps. Le temps, c’est un de mes schémas obsessionnels et c’est d’ailleurs pour ça que je photographie beaucoup les horloges : l’angoissée que je suis est donc parfaitement rassurée lorsqu’il est comme ça quadrillé, circonscrit sur les pages. Lorsque je suis en vacances/voyages, et que mon temps est donc entièrement libre, à moi, je ne me sers absolument pas du Bullet Journal, mais mettre les tâches qui me volent mon temps (pas que celles-là, mais essentiellement celles-là) sur le papier, pouvoir les « éliminer » lorsque je m’en suis débarrassée, ça m’aide beaucoup, tout comme ça m’aide d’écrire ce temps qui à la fois passe trop vite et trop lentement. Disons qu’une fois que j’ai coché tous les trucs pénibles, ça signifie que le temps qui reste est free, à moi ! Et psychologiquement ça fait du bien !

Bref : au bout de deux ans, le Bullet Journal fait complètement partie de mon quotidien, au point que je me demande comment j’ai fait pour vivre sans aussi longtemps !

Et vous ?

Guide de survie quand tu as 40 ans, de Violette Joffre et Ronan Daniel

Quand on lui parlait de son quarantième anniversaire, un grand penseur disait (il nous semble que c’était Adriana Karembeu) : « A partir de quarante ans, on descend la colline. » En attaquant l’ouvrage que vous tenez dans les mains, petit veinard, nous avions pour ambition de souligner à quel point les descentes sont plus sympas que les montées, et vous pouvez nous croire puisqu’on est presque aussi experts en vélo qu’en vie de quadragénaire.

Je l’ai assez claironné pour que vous ne puissiez pas feindre de l’ignorer (sinon c’est que vous n’êtes franchement pas très attentifs) : il y a quelques semaines j’ai eu 40 ans, et ce cap s’accompagne d’une très très belle middle-life crisis, dont je pensais que c’était un mythe mais en fait, pas du tout, ça existe, je peux en témoigner : j’ai des envies bizarres, des lubies de vie à la campagne au calme (vous savez, le cliché de l’auteur reclus dans sa thébaïde), par contre je n’ai plus envie de Paris (où je ne suis d’ailleurs pas revenue depuis mon anniversaire — ce n’est pas que je n’aime plus Paris, mais je crois que nous avons besoin d’une pause dans notre relation), bref, j’ai envie de tout changer dans ma vie (enfin tout, pas mal de choses, et il faut que j’arrive à trouver un point d’équilibre) (cela étant, cela avait commencé depuis l’an dernier sans que je m’en rende vraiment compte, mais mon déménagement était sans doute un premier pas : le changement est enclenché, il faut que je sois patiente pour le reste) (par contre il faut vraiment que je quitte Orléans, cette ville me bloque). Enfin tout ça pour dire que lorsque je suis tombée sur ce petit ouvrage, qui voyez comme les choses sont bien faites est sorti à peu près à la date fatidique, je me suis dit que c’était parfait pour dédramatiser les choses (je ne connais pas Ronan Daniel, par contre je suis une fan absolue de Violette).

Il s’agit donc d’une liste de listes sur ce que c’est que d’avoir 40 ans : les symptômes de la crise de la quarantaine, les faux-pas du quarantenaire sur les réseaux sociaux (n°18 : Sur Facebook, vous partagez des clips de groupes que vous écoutiez à 20 ans — je plaide coupable, je fais tout le temps ça, et même des trucs bien plus vieux), les acteurs plus sexy à 40 qu’à 20 et les femmes super hot qui ont dépassé la quarantaine, les clichés sur la quarantaine dans les séries télé, les trucs qui seront toujours plus vieux que nous, les films sur la crise de la quarantaine — et aussi quelques listes plus relous comme les raisons pour lesquelles la gueule de bois empire avec l’âge, les célébrités que l’on pourrait avoir engendrées (dont les trois quarts des abrutis que vous voyez sur Youtube ou encore le livreur de pizza) et les examens médicaux conseillés à partir de 40 ans… Le tout illustré par Pacco !

Je me suis beaucoup beaucoup amusée avec ce petit livre (traduction : j’ai souvent pouffé comme si j’avais 15 ans). C’est drôle, frais, on se reconnaît forcément et franchement, ça aide à dédramatiser (oui je sais il y a pire drame dans la vie que d’avoir 40 ans mais bon) certaines choses. A s’offrir, ou a offrir à un ami qui va bientôt passer ce fameux cap 40 !

Guide de survie quand tu as 40 ans — 100 listes pour vous aider à passer le cap
Violette JOFFRE et Ronan DANIEL
Leduc.s (Tut-Tut), 2018

Bullet time

Bullet TimeJe l’ai déjà dit : mon Bullet Journal a quelque peu changé mon quotidien. Du coup, je me disais récemment que pour l’an prochain, j’en prendrais bien un deuxième pour le travail (on l’aura noté, je déteste mélanger mon métier aux autres aspects de mon existence), histoire d’être plus efficace et de gagner encore plus de temps. On peut donc dire que les éditions du Chêne sont bien tombées, avec leur Bullet Time, un bullet journal déjà pré-rempli à personnaliser : les pages index, des pages planning (année/Mois/semaine) mais aussi des pages « collection » pour organiser ses réceptions, ses projets, faire des listes de films et de livres, et plein d’autres choses encore !

En gros, ça donne ça :

ça fait envie hein ? Surtout que vous étiez nombreux la dernière fois à me dire que l’aspect décoration vous donnait la flemme : là c’est tout pensé pour vous !

Et bien vous avez de la chance : j’ai trois exemplaires à vous faire gagner. Le principe est simple :
1. Vous laissez un commentaire pour me dire que vous participez.
2. Si vous voulez des chances supplémentaires de gagner : partagez le concours sur vos réseaux
3. Vous m’écrivez un mail (irreguliere.blog[at]gmail.com) avec vos coordonnées, votre pseudo si vous en utilisez un, le lien vers vos partages si vous l’avez fait (attention sur Facebook que le post soit bien public sinon je ne le verrai pas si nous ne sommes pas amis). En objet vous indiquez « Bullet time ».
4. Vous faites ça d’ici le dimanche 21 mai à minuit.
5. J’organiserai un tirage au sort. Je contacterai directement les gagnants et je mettrai à jour l’article !

Bonne chance !

Edit : les gagnants sont Stéphanie Rossier, Dorothée de « la plume et la page » et Alexandra Pucci ! Bravo !

Bullet Journal : bilan à six mois (et des poussières)

Bullet journalComme tout le monde, je vous avais parlé de mon Bullet Journal ; à l’époque, je vous expliquais que ce truc avait totalement révolutionné mon quotidien. Mais, me connaissant, on pouvait craindre que l’enthousiasme retomberait vite.

Et bien, pas du tout, au contraire : après quelques tâtonnements et réglages, au bout de six mois je suis toujours aussi enchantée. Du coup, j’ai un peu investi : un vrai carnet dédié à cette activité, le fameux Leuchtturm1917 qui a ceci de pratique qu’il dispose déjà déjà d’un index, que les pages sont numérotées et que le quadrillage rend beaucoup plus faciles à faire les petites décorations et les cadres ; de jolis crayons de couleurs et des feutres Faber Castel ; du masking tape et notamment celui avec les livres, qui est absolument magnifique (apparemment Alice ne l’a plus en stock mais elle en a un très beau avec des tickets).

Après, il est clair que je ne passe pas des heures sur la décoration : je suis nulle en dessin, je n’ai du reste aucun goût pour ça, je m’en tiens donc au strict minimum pour que ce soit un peu gai mais que ça reste simple. Je n’ai pas non plus de système complexe de puces : juste pour chaque mois puis chaque jour la liste des choses à faire, que je noircis au fur et à mesure, et c’est ça qui m’aide le plus : d’abord je n’oublie pas (par exemple, réfléchir sur ma journée pour voir si j’ai quelque chose de bien à mettre dans ma Happiness Jar), et ensuite ça limite la procrastination dont j’étais tout de même gravement atteinte. De même, j’ai des pages « projet » qui me permettent de m’organiser sur le long terme, comme vous le verrez par exemple pour mon voyage estival à Lisbonne. Après, sur le bullet journal je n’ai que la trame, j’ai d’autres carnets dédiés à chaque chose pour développer (le planning éditorial du blog, un carnet « projets d’écriture » lui-même développé ensuite dans de petits cahiers (un par projet), un carnet professionnel Moleskine).

Et c’est tout, mais ça change ma vie !

Alors c’est clair que par rapport à ce que font certaines, mon bullet journal n’est pas hyper joli, mais comme je l’ai dit, je ne suis pas graphiste. L’essentiel, c’est le contenu !

Et vous, vous êtes passé au Bullet Journal ou vous êtes réfractaire ?

My Bullet Journal

Bujo

Toujours dans la série « j’ai la personnalité d’une petite cuillère », je me suis mise récemment au Bullet Journal, et il se trouve que ce truc est en train de totalement révolutionner ma vie en plus d’être un véritable tsunami sur les blogs de lifestyle.

Si vous voulez savoir ce qu’est un Bullet Journal, Bujo pour les intimes, Alice explique ça très bien (et elle est clairement beaucoup plus douée que moi sur la partie graphique).

Intéressons-nous plutôt à mon cas personnel. Il se trouve que j’ai découvert que dans mes carnets, je faisais déjà plus ou moins ce qui constitue l’idée de base du Bullet Journal, surtout si l’on ajoute à cela mon agenda. L’idée était donc de rassembler toutes mes notes éparses dans un seul carnet (et de les retrouver facilement grâce à l’index, ce qui m’évite de chercher des heures où j’ai bien pu noter tel ou tel truc), ou presque toutes : par exemple, je garde un carnet exclusivement dédié au blog (le calendrier éditorial et les idées d’articles), un autre à l’écriture, et évidemment mon carnet intime ainsi que mon agenda. En fait, le gros truc qui me manquait, c’était l’aspect « to do list » et c’est ce qui change tout.

Pour faire simple, on trouve donc dans mon Bullet Journal :

bujo
Les pages « to do » : 3 jours par page. J’ai choisi de n’y inscrire que les tâches à effectuer, les idées et autres trucs vont ailleurs. J’y note donc mes rendez-vous, les obligations, les factures à payer, la déclaration d’impôts et tous les trucs que j’ai tendance à oublier ou à repousser. Et surtout, j’y note les deux impératifs quotidiens : l’écriture de mes 500 mots, et mon 1/4 d’heure de ménage (plus exactement : un truc ménage par jour). Et ça va paraître idiot, mais le fait est que depuis que je fais ça, je ne procrastine plus : à partir du moment où la tâche est écrite noir sur blanc, il se trouve que j’ai envie de noircir la case pour la considérer comme « effectuée ». C’est totalement psychologique, mais je m’y tiens depuis un mois, et je gagne vraiment en efficacité.

27007970644_59cbd1100f_z– Diverses listes, qui étaient auparavant éparpillées dans tous les carnets : évidemment les listes utiles comme tout ce qui concerne l’organisation de mon voyage à Amsterdam (ce qu’il faut que je fasse avant de partir, quoi mettre dans la valise, quoi voir sur place, quoi rapporter), les listes de films, de livres, des lieux à visiter, une shopping list (sur laquelle je rajoute, lorsque le truc a été acheté, le modèle et la taille que j’ai prise, pour pouvoir le retrouver facilement et le racheter à l’identique — je suis en train de refaire mon fond de basiques), mais aussi des listes un peu plus « sentimentales » : bucket list, choses qui rendent heureux, choses qu’on aime faire…

– Les adresses que je note à la volée
– Mes divers projets littéraires dont je n’ai pas le temps de m’occuper tout de suite car j’en ai d’autres sur le feu : là je ne note que l’essentiel (le titre, un vague résumé, les thèmes) attendu que j’ai un carnet dédié à ça mais j’aime l’idée qu’il y ait une trace ici aussi.
– Certains ajoutent des choses comme des plannings de repas, des trackers (par exemple un nombre donné de verres d’eau à boire chaque jour), des « goals » (pour la perte de poids notamment…) : bref, les possibilités sont infinies !

Après, bien sûr, chacun fait ce qu’il veut, et l’une des choses intéressantes avec le Bullet Journal c’est l’aspect décoratif/créatif, pour lequel je ne suis pas tellement douée malgré le temps que je passe à épingler de belles idées. Mais bon, on ne peut pas avoir tous les talents !

Bref : j’adore, je ne sais pas si cela convient à tout le monde (je ne crois pas) mais pour la procrastinatrice hyperactive qui a toujours cent projets en tête que je suis, c’est une révolution !