En mots et en images : Mai 2018

Les mots…

En Mai, fais ce qui te plaît // Sur la route, avec cette étrange sensation de dernière fois // Quelques clochettes de muguet porte-bonheur // L’or du soir qui tombe // Le calme // Romantisme 2.0 // Une robe de princesse avec des paillettes // Les jours tranquilles // Notre mode de communication à nous // Les jonquilles // Un dimanche // Cache-cache // Ben quoi, j’ai pas raison ? // Promenade sous le soleil dans la vieille ville // Soirée filles. Conclusion : les hommes sont quand même très compliqués (mais on les aime quand même) // At home // D’humeur romantique // Les moulins de mon coeur // Que serais-je sans toi que ce balbutiement // Une nouvelle robe rouge et une brassée de pivoines // Semer de la poésie // Ce qu’on appelle l’ennui // Heureusement que tu m’as // Au marché // Des pivoines, encore et toujours // Dans ces bras-là // Ich liebe dich, c’est la seule chose que je sais dire en allemand et ça tombe bien // Love etc. // Royal wedding // Décidément, quand ça ne veut pas, ça ne veut pas // Parfois je me demande ce que j’ai fait de vilain dans une vie antérieure // Shopping deco therapy // Légère vêtue (la robe rouge, épisode 158) // Un seul être vous manque… // Un nouveau projet. Pour combler le manque. Ecrire, je pourrais ne faire que ça // Retomber sur de vieux albums photo. Nostalgie des années de jeunesse et d’insouciance, et qu’on a espoir en l’avenir // Les bleus à l’âme

Sur une idée originale de Moka

Les images…

En mots et en images : octobre 2017

Les mots…

Ecrire // Finir enfin ce recueil de nouvelles // Oups, la boulette // Mais bon, on s’en remettra hein // Trouver enfin ce qui cloche dans ce texte, et pouvoir m’y remettre sérieusement // Les matins comme ça // Tourisme dans ma ville // Les couleurs de l’automne // Une révélation existentielle qui prend un chemin tortueux // Soirée d’inauguration de la biennale d’architecture. Champagne, petits fours, illuminations // En chemin elle rencontre des livres abandonnés sur le rebord d’une fenêtre. Raisonnable, elle n’en adopte qu’un // La vie d’un projet, entre hauts et bas // La résistance du soleil et un peu d’été indien // Profiter du beau temps pour un baguenaudage dominical. Les couleurs de l’automne et les bords de Loire. S’offrir un plaisir coupable // L’éternel retour nietzschéen version perverse // Le swag // L’art délicat de la séduction // Vacances // Sur la route // Quelques jours à la campagne // Chez Alphonse // La famille, les amis // Sur la route (du retour) // Quand même, qu’est-ce qu’on est bien chez soi // Décoration d’automne // Trick or treat ?

Sur une idée originale de Moka

 

Les images…

En mots et en images : avril 2016

Les mots

1er avril, je ne fais confiance à personne. Me faire pourtant piéger par un gros poisson // Sur la route pour quelques jours à la campagne // Un salon du livre réussi, de belles rencontres et une ébullition inspirante // Les amis. Un déjeuner et une vache au plafond. Un dîner et une petite fille qui aime les histoires de princesses // Promenade dominicale sous les arbres en fleurs // Les chaussettes de l’archiduchesse // Farniente… // Champagne. Toutes les occasions sont bonnes. Et même, soyons honnêtes, l’absence d’occasions // Pas de nouvelles, bonnes nouvelles ? // A la maison avec des fleurs du jardin. Installer mes plantations sur mon balcon. Enfin le printemps qui arrive // Paris, ma belle. Le jardin des plantes tout en fleurs dans la lumière mouillée d’un matin de printemps. Le 16e arrondissement sous le soleil. La tour Eiffel. La place des Vosges sous la pluie. Un café en terrasse avec deux chouettes personnes que je n’avais pas vues depuis longtemps. Victor et sa jolie maison. Une belle journée comme je les aime // La cuisine indienne, c’est vraiment mon péché mignon (avec le fromage et les fruits de mer) // Premier non // Et ça continue… // Perplexe // It’s rosé o’clock. Boire l’apéro avec Brad et Angélina. Ou tout comme… // Les arbres en fleurs, c’est toujours un succès // In wine we trust // Haut les coeurs // Cadavres exquis // L’impression de courir tout le temps // Six ans // ça se fête // Bon, il ne fait pas si mauvais, pour un mois de novembre… oh, wait ! // Foodporn. Du fromage italien, du saucisson aux truffes, du chianti. Un hamburger au foie gras et des cafés gourmand. La vie quoi // Didier et un bouquet de pivoines (pas ensemble…) // Réussir, après de nombreuses péripéties, à réserver mon séjour à Amsterdam… et ça, c’est bien !

moi après moisSur une idée de Moka

Les images…

Avril 162

Bloc Notes

<Retronews>

Retronews_infoposter-01La presse est un formidable moyen d’explorer l’histoire, mais les vieux journaux ne sont pas toujours facilement accessibles, en tout cas n’étaient pas, car désormais RetroNews permet d’explorer 3 siècles de presse, à la lumière des innovations technologiques d’aujourd’hui. Animé au quotidien par un comité de rédaction composé de journalistes, d’enseignants, de chercheurs, etc., RetroNews a été imaginé et conçu par BnF Partenariats en collaboration avec Immanens. Les passionnés d’histoire et d’actualités, comme les amateurs de médias et de la presse en particulier, vont pouvoir satisfaire leur curiosité, avec les 15 millions d’articles présents dès le lancement du site.

<Une saison à Versailles>

Une saison à Versailles

En 2016, le compte instagram du château de Versailles invite les photographes amateurs ou confirmés à capturer les richesses et la variété du domaine dans le cadre de quatre concours distincts sur le réseau social Instagram. Printemps, été, automne, hiver, à chaque saison de l’année sa compétition et ses gagnants. Le premier volet du concours a lieu a lieu en ce moment, depuis le 1er avril et jusqu’au 30 avril. Les participants pourront poster leurs photographies avec le hashtag #VersaillesPrintemps ou #VersaillesSpring. Si vous n’avez pas prévu de rendre visite à Marie-Antoinette d’ici là, il y aura 3 autres volets : du 1er au 31 juillet : #VersaillesEte #VersaillesSummer, du 1er au 31 octobre : #VersaillesAutomne #VersaillesFall, du 1er au 31 décembre : #VersaillesHiver #VersaillesWinter. Plus d’infos ici.

<Sculptures>

Marc PetitSi vous passez par Limoges d’ici le 19 septembre (on ne sait jamais), vous pourrez, en vous promenant dans les jardins de l’Évêché (un truc que je n’ai pas fait depuis 1000 ans) découvrir l’exposition en plein air du sculpteur Marc Petit dont l’oeuvre assez saisissante peut provoquer des réactions contrastées (il a son atelier dans la petite ville où vivent mes parents, et ma mère déteste), mais mérite d’être découverte : c’est gigantesque, cela ressemble beaucoup à du Giacometti, dans cette manière de représenter l’humain dans sa fragilité et sa vulnérabilité, et je gage que ses oeuvres gagnent à être vues dans un lieu comme les jardins de l’Évêché. On en reparlera peut-être si je trouve le temps d’y faire un tour lors de mon passage à Limoges en juillet !

<We talk>

we talk
Le W(e)Talk Event est un événement qui célèbre l’action au féminin pluriel pour stimuler le pouvoir d’agir chez toutes les femmes. Il a pour but de mettre en valeur 8 femmes, leurs actions et leur parcours afin de palier le manque de modèles féminins et donner de l’inspiration et du pouvoir d’agir à toutes et à tous. La troisième édition qui aura lieu le 21 mai 2016 à la Bellevilloise à Paris aura pour thème « Les artisanes du commun, elles font ensemble pour un autre demain ». Plus d’infos sur le site.

<Préambule>

PréambulePréambule est une plateforme d’écriture collaborative où vous pouvez écrire le début d’une histoire ou continuer celles des autres. le site est actuellement en phase bêta, la plateforme n’est donc pas entièrement terminée, mais il est d’ores et déjà possible de participer en soumettant un début d’histoire ou de lire les préambules (et les histoires terminées) déjà soumis. Seront également mis en place prochainement des concours avec des auteurs : les membres pourront soumettre leur préambule à un auteur invité et celui qui obtiendra le plus de vote sur une période donnée verra son histoire poursuivie par l’auteur. Les histoires terminées dans le cadre du concours seront ensuite mises en vente et les collaborateurs de l’histoire seront rémunérés. Moi je trouve que c’est une chouette idée !

<La nuit de la littérature 2016>

nuit de la littérature © SRVous faites quoi la nuit du 28 mai ? Si vous ne savez pas encore, j’ai une piste : la nuit de la littérature, qui aura lieu dans  le quartier du Viaduc des Arts avec ses magnifiques ateliers comme lieux des lectures. Pendant toute une soirée, vous pourrez déambuler dans le quartier du Viaduc des Arts et de la Coulée verte à la découverte d’auteurs de 19 pays et de l’une de leur oeuvre en français ou en traduction française. Chaque auteur invité, accompagné d’un/e comédien/ne francophone et parfois du traducteur / de la traductrice , investit un lieu du quartier du Viaduc des Arts, de 17h à 23h pour une série de 6 lectures / rencontres de 40 minutes environ : les 19 auteurs investissent 19 lieux et les lectures commencent simultanément au début de chaque heure : 17h, 18h, 19h, 20h, 21h et 22h, chaque heure se déroulant en deux temps, d’abord 15-20 mn de lecture suivies de 15-20 mn de discussion entre le public, l’auteur, le traducteur/la traductrice et le/la comédien/ne. Vous êtes ensuite invités à changer de lieu pour une nouvelle lecture. Plus d’infos sur le site du FICEP !

<Réseaux sociaux>

ElloDeux petites infos personnelles pour terminer :
– Vous pouvez désormais me retrouver sur Snapchat sous le pseudo @lirreguliere : j’ai longtemps résisté à ce réseau connoté kikoolol, et de fait il l’est, mais on trouve aussi des gens intéressants. C’est plus spontané, moins léché qu’Instagram mais on peut y faire des choses sympathiques, notamment des « making of ». Pour l’instant je ne poste pas grand chose (je me suis néanmoins essayée aux selfies rigolos) mais j’aime beaucoup regarder ce que font les autres, n’hésitez pas à me signaler votre compte.
– Autre réseau social, Ello, sous le nom de @irreguliere : c’est très arty et intello, j’aime beaucoup, on y trouve vraiment de très belle choses, même si je suis en pleine phase de découverte !

Lire à Limoges 2016, c’était comment ?

L’an dernier, je vous avais vivement encouragés à vous y rendre, cette année, j’ai suivi mon propre conseil et, profitant d’une conjonction astrale favorable, je suis enfin revenue faire un tour au très joli salon du livre organisé par la ville de Limoges : Lire à Limoges qui, d’après 100% des auteurs interrogés, est un salon très agréable, bien organisé, et où les écrivains sont bien reçus. Bref, ils aiment venir à Limoges, et ça se voit, car ils sont tout de même nombreux. Tout comme, d’ailleurs, le public, vu que c’est gratuit.

LirealimogesJ’ai donc passé toute ma journée du samedi 2 avril sous l’immense chapiteau dressé sur l’esplanade du champ de juillet, juste devant la gare, ce qui simplifie beaucoup les choses pour ceux qui viennent en train. Je suis arrivée tôt, pas à l’heure où blanchit la campagne mais presque. Enfin, à 9h30 quoi. Entrée facile puisque gratuite, il y a déjà du monde mais la circulation est aisée et agréable. C’est clair, bien organisé en espaces distincts. Quatre gros stands, un pour chacune des grandes librairies de la ville : Page et Plumes et Anecdotes qui sont indépendantes, auxquelles s’ajoutent l’espace culturel Leclerc et Cultura ; un espace polar, un espace BD, diverses associations, petits éditeurs régionaux et médias. Quelques éléments poétiques avec des travaux réalisés par les enfants des écoles de Limoges. Je prends la température, l’effervescence monte.

Avant midi, c’est encore calme, donc on peut discuter un certain temps avec les auteurs : je passe donc dire bonjour et bavarder avec Elsa Flageul, Brigitte Kernel, Laurent Bénégui (malheureusement placé à côté de Yasmina Khadra et donc assez difficile d’accès) et faire une bise à Astrid. Au passage je félicite François Bégaudeau pour son dernier livre et du coup c’est à lui que j’achète mon premier ouvrage de la journée, et comme c’est un gentil garçon il m’en donne un autre en prime. J’en profite aussi pour prendre En attendant Bojangles au très très charmant Olivier Bourdeaut avant qu’il ne soit trop sollicité.

Midi, c’est l’heure de la remise du prix Coeur de France, cette année décerné à Pascal Marmet :

C’était ensuite l’heure de déjeuner, et j’ai rejoint une amie dans un restaurant sis non loin de là : La vache au plafond, adresse que je vous conseille vivement si jamais vous passez dans le coin, c’est d’ailleurs là qu’ont déjeuné certains auteurs, et je retombe sur le décidément très charmant Olivier Bourdeaut.

Deuxième round : accompagnée de mon amie Sophie, je retourne sous le chapiteau, déjà un peu plus rempli. Mission : trouver les jonquilles, puisque c’était notre signe de ralliement, avec Syl et Keisha, avec qui je passe un bon moment. Bon, je ne vais pas tout vous raconter par le menu, mais en résumé : beaucoup beaucoup de monde, de jolies discussions et rencontres avec des auteurs que je n’avais pas pu voir le matin : Jérôme Attal, Murielle Magellan, Hafid Haggoune, et Camille de Peretti !

Après diverses pérégrinations, il est 19h, l’heure de l’événement de la journée : la remise du premier prix du premier roman Régine Deforges à Astrid Manfredi pour La Petite Barbare, un moment assez émouvant :

Et voilà, la journée se termine et le chapiteau s’est vidé, il est temps pour moi de rejoindre une amie pour le dîner !

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Bilan : une journée épuisante mais stimulante, pleine de belles rencontres bloguesques et littéraires, de discussions sympathiques, beaucoup de monde, une ambiance joyeuse et détendue… Je n’ai assisté à aucune conférence, mais tant pis… Un salon qui joue dans la cours des grands, et qui est gratuit ! L’an prochain, n’hésitez pas !

Un salon du livre à taille humaine (et gratuit) : Lire à Limoges, du 10 au 12 avril 2015

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Le salon du livre de Limoges, appelé plus spécifiquement Lire à Limoges, même s’il n’est plus pour moi qu’un souvenir depuis que je vis à Orléans*, reste pourtant cher à mon coeur, puisque c’est le salon de la ville dont je suis originaire. Un salon où je suis allée de nombreuses fois (je l’ai même connu place de la République, c’est dire), et où j’ai rencontré bien des gens passionnants, avec qui j’ai pu échanger sur ma passion des livres, obtenir des dédicaces, enfin bref, tout ce qu’on aime faire dans un salon du livre. Je ne vais pas les lister, mais deux en particulier sont important pour moi parce qu’ils sont aujourd’hui disparus : Jean Markale, spécialiste de la culture celte et qui a écrit de remarquables ouvrages sur la légende arthurienne, et Régine Deforges.

Tous les ans je me dis que j’aimerais bien, un jour, y revenir. Ce ne serait d’ailleurs pas très difficile : il me suffirait de prendre le train ou ma voiture, et de m’incruster chez mes parents pour le week-end. Mais c’est comme le salon du livre de Brive : je finis par renoncer pour diverses raisons. Mais bref.

Cette année, le programme est particulièrement alléchant, et me fait hésiter plus que jamais. L’invité d’honneur sera Eric-Emmanuel Schmitt, qui animera notamment une master-class philo à destination des chanceux lycéens. Mais il y aura aussi des rencontres, conférences, entretiens et temps d’échanges, à la Bibliothèque francophone multimédia, à l’Opéra-Théâtre, au conservatoire, à l’Espace Cité, au Café Littéraire, avec notamment cette année : un grand entretien avec toujours Éric-Emmanuel Schmitt en présence de Jacques Arnould (philosophe, historien et théologien), une conférence avec Marek Halter, des lectures avec Véronique Olmi, des tables rondes, animées par le journaliste Eric Portais, et rassemblant des auteurs autour d’un thème de société ou d’actualité, des rendez-vous littéraires sous le chapiteau, des lectures, une interview de Tatiana de Rosnay, la projection du Rebecca de Hitchcock, une conférence sur les tueurs en série, de nombreuses animations pour la jeunesse… et bien sûr, les dédicaces, avec, notamment, Philippe Besson, Stéphane Bourgoin, Malek Chebel, Grégoire Delacourt, Michel Denisot, Tatiana De Rosnay, Vladimir Federovski, Claude Halmos, Marek Halter, Axel Kahn, Marc Lavoine, Éric De Mongolfier, Olivier Norek, Véronique Olmi, Daniel Picouly, Audrey Pulvar, Michel Quint, Jean Teulé, Danielle Thiery, Valérie Tong Cuong, Christian Signol… (mais pas Didier van Cauwelaert, sinon ma valise était déjà dans la voiture…)

Mais ce qui fait la spécificité de Lire à Limoges, ce sont ses prix, et notamment le prix « Coeur de France » sous la présidence de Madeleine Chapsal et doté d’un jury composé de Janine Boissard, Xavier Milan, Philippe Pauliat-Defaye (Maire-Adjoint Délégué à la Culture), Eric Portais, Eve Ruggieri, Sonia Rykiel et Gonzague Saint-Bris. Il sera remis cette année à Mireille Calmel pour La Marquise de Sade. Sera aussi créé le prix Régine Deforges, qui était une fidèle de Lire à Limoges, et qui récompensera dès l’année prochaine un premier roman : la sélection des ouvrages (publiés entre Avril et 1er Mars de l’année suivante) sera faite par les bibliothécaires de la ville de Limoges et soumise à un jury composé des enfants de Régine (Franck Spengler, Camille Deforges et Lea Wiazemsky), et de Noëlle Chatelet, Marina Carrère d’Encausse, Grégoire Delacourt, David Foenkinos et Daniel Picouly.

Bref, Lire à Limoges est vraiment un beau salon, animé, festif, qui met toute la ville à contribution, où on fait de belles rencontres, un salon à taille humaine mais qui ne manque pas pour autant de richesse. Et dont l’entrée est gratuite !

Si vous êtes dans le coin, n’hésitez-pas !

Lire à Limoges 10, 11 et 12 avril 2015 Esplanade du Champ de Juillet Entrée GRATUITE

* (une raison de plus pour détester cette ville : il n’y a pas de salon du livre, ce qui en dit long je trouve…)

Là où l’amour n’est pas que dans le pré…

Ceux qui ont regardé le final de L’Amour est dans le pré hier soir reconnaîtront peut-être cet endroit, qui a également servi de cadre samedi dernier au mariage de mon cousin. Un lieu, donc, qui accueille l’amour (mais aussi des séminaires et des stages artistiques… je m’y retirerais bien pour un stage d’écriture moi). Un lieu un peu en marge du monde, et très peu connu, même des gens du coin. Cet endroit se trouve sur les bords de la Vienne, à Limoges. Et c’est vraiment un endroit magnifique pour accueillir un mariage, même si malheureusement le temps peu engageant nous a seulement accordé une petite éclaircie pour faire le lancer de bouquet de mariée et quelques photos. Nous aurions aimé, vous vous en doutez, en profiter plus : moi qui piaffait depuis des mois à l’idée des photos que j’allais pouvoir faire dans ce magnifique endroit, je me retrouve avec des clichés tout sombres pris à la va-vite en passant entre les gouttes. Tellement frustrant…

Ce lieu s’appelle « le Poudrier ». Ce fut d’abord au XVIème siècle un moulin à farine, avant d’être réquisitionné comme moulin royal par Louis XIV pour y fabriquer la poudre à canons : c’est de là probablement qu’il tient son nom, même si je préfère l’associer à l’idée de boudoir.

Le domaine de 4 hectares accueille, ça et là, des tables et des chaises pour se reposer, des vignes, quelques sculptures… des ânes… et un théâtre de verdure !

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Quant à l’intérieur (enfin un des intérieurs, la salle du moulin) il est décoré un peu de bric et de broc, ce qui lui donne un charme fou, un peu brocante rustique. Ce n’est pas immense, mais du coup cela donne une ambiance intime tout à fait agréable.

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A noter qu’ils proposent aussi divers types d’hébergement (non testés) pour les invités qui viennent de loin, mais aussi pour un petit week-end : chambres d’hôtes traditionnelles, mais aussi un chalet, une cabane dans les arbres, un camping-car et bientôt un bateau. A des prix, d’après ce que j’ai compris, assez raisonnables.

Lieu-dit « Le poudrier »
Route du palais
87000 Limoges
www.le-poudrier.com