En mots et en images : Mars 2017

Les mots…

Un mois qui s’annonce mouvementé // Commencer le transfert par des objets symboliques : mon manuscrit, un livre que j’ai publié, une paire de chaussures, une robe de soirée et une bouteille de champagne // Ce n’est pas que je suis superstitieuse, hein, mais tout de même // Une semaine à naviguer entre deux appartements // D. Day // ça fait du bien quand c’est terminé // Retrouver petit à petit mon quotidien // Les arbres en fleurs et la douce chaleur du printemps qui arrive // Toutes ces premières fois qui rendent la vie plus belle // Profiter du balcon. Entendre le chant des oiseaux et avoir vue sur le jardin, à la place de la rue et des voitures // Une merveilleuse journée. Des fleurs et un plateau de fromages, du soleil et plein de messages dans toutes les langues // Apprivoiser peu à peu mon nouveau décor // A l’opéra. Aïda. Sublime // Un appel venu de Portobello Road // Welcome spring // Zen, restons zen (mais c’est pas facile) // London. Standing together… // Suivre François Busnel quoi qu’il fasse (sauf à Livre Paris parce que je ne peux pas me dédoubler). Me précipiter pour découvrir America // Enjoy life with style // Un week-end intense. Paris, de belles rencontres, de beaux moments, des cocktails, des rires, Livre Paris, le Mazarine Book Day, une soirée chez Charleston, Paris by night, Le Flore, une pluie de fleurs de cerisiers, des cafés en terrasse, un petit déjeuner pour découvrir de nouvelles parutions, du champagne, des gens fascinants. Des macarons. Une valise très très lourde. Une fatigue intense. Mais un bonheur infini // Le choc des civilisations // Tout un tube de café et une bassine d’anti-cernes en intraveineuse. Ou l’inverse… // Heureusement qu’il fait beau et que je peux garder mes Aviator vissées sur mon nez // Les gens sont toqués, en fait (ce n’est pas une découverte, mais enfin, tout de même) // Du mal à revenir au pseudo-réel, même dans mon appartement tout beau // Appuyer sur la touche envoi // Ouvrir la baie vitrée et faire comme en été

Sur une idée originale de Moka

Les images…

Prendre son goûter chez Ladurée

Ladurée
A quelques mètres du Flore, rue Bonaparte. La boutique salon de thé Ladurée. Je m’étais souvent arrêtée pour prendre en photo la vitrine et acheter un assortiment de macarons (mes préférés : à la rose, et à la fleur d’oranger) dont je collectionne plus ou moins les boîtes. Mais je n’avais jamais pris le temps de m’installer un moment dans le salon du premier étage. Ce que j’ai fini par faire l’autre jour. Accueil très aimable (la serveuse m’a parlé comme si je venais tous les jours, ce qui m’a un peu perturbée j’avoue), jolie décoration et moment de plaisir intense : j’ai commandé une religieuse à la rose divinissime (après avoir hésité longuement avec l’Ispahan) et une coupe de champagne sans alcool absolument délicieux.

Ce n’est pas quelque chose que je referai souvent, prendre mon goûter chez Ladurée. Cela doit rester exceptionnel. De toute façon, la saison des terrasses sera bientôt ouverte. Mais de temps en temps… Quel plaisir !

En mots et en images : février 2017

Les mots…

Toujours dans les cartons. Le rangement, c’est maintenant // Des crêpes // Memories // Vivement que tout ça soit terminé et que je sois dans mon nouveau décor // In the mood for Portugal // Les jours coulent comme l’eau entre les doigts ouverts. L’argent aussi, soit dit en passant // Ma déesse qui m’attend patiemment // A force de voyager il finira bien par trouver sa maison // Une nouvelle publication pour avril. Toujours pas mon roman, mais ça fait plaisir // Un an… // Une journée à Paris. Un peu de rive droite. Descendre tout le boulevard saint-Germain. M’arrêter bien sûr au Flore. Goûter chez Ladurée d’une religieuse à la rose et d’un champagne sans alcool très bon. Passer chez Diptyque m’acheter de jolies choses pour l’appartement. Rentrer reboostée // Dites, ma voiture, vous la refaites en entier ou quoi ? // Réponse : oui. Ils ont mis du temps, mais je récupère ma chérie propre comme un sous neuf et sans plus aucune rayure, et ça, c’est chouette, même si c’est pour m’en séparer // Hot as Hell // Le réel, c’est compliqué et je ne sais pas trop faire avec. Vivement que je puisse à nouveau me consacrer exclusivement au monde non-réel // En mode démone de l’Enfer. Mais pourquoi en ce moment les gens se liguent pour me faire sortir de mes gonds ? // Ça y est, ma petite voiture est partie. Elle va me manquer, quand même // By train // Campanule // Ma déesse // Faire les magasins d’usine. Madeleines et porcelaine // ttttttssssss // Fais comme Marcel Proust. Une petite madeleine trempée dans du thé // Sur la route avec mon petit bolide rouge // Home (mais plus pour longtemps) // Des bibliothèques toutes vides, ça fait bizarre. Un mur de cartons de livres aussi // Des listes et des listes d’achats. Et au milieu, réserver un week-end à Paris // Signer un nouveau contrat d’auteur dans un rayon de soleil // Une nouvelle petite plante // L’autre jour des crêpes // Les clés de ma nouvelle vie

moi après moisSur une idée originale de Moka

Les images