En mots et en image : Mars 2018

Les mots…

Mars, mois du printemps et de mon anniversaire // Les figures du discours amoureux selon Barthes. Se sentir normal dans sa folie // J’aime // Soirée entre amis // Rires et joie // Il est où ton amoureux ? // Giboulées (dehors et dedans) // Jamais je n’ai autant écrit de ma vie // Home // Un autre titre (qui ne fait pas l’unanimité, mais passons) // Dans ma bulle // Amour et psychoses // Ecrire et aimer, (et lire), cela me suffit pour vivre // Ecrire dans mon lit grâce à mon nouvel ordinateur portable que j’aime à la folie // Obsession // 40000 mots // Comme un air de printemps avec quelques jours d’avance // Prendre soin de moi pour cette nouvelle étape // Un week-end fou // Du soleil, de la pluie et de la neige // Une inauguration pleine de (beau) monde // Une journée d’anniversaire toute douce, un petit déjeuner au Flore, les allées de Livre Paris, de belles discussions, des dizaines de messages mais surtout un, de l’aligot à gogo // Un tournoi des influenceurs // Un troisième Mazarine Book Day et un nouveau surnom, le trèfle à quatre feuilles. Espérer un grand chelem // Un joli petit restaurant à Odéon // Une nuit folle à la Coupole, du champagne, du gesticulage sur le dancefloor et s’amuser devant le photographe // Merci pour ces moments. C’était doux // Mon (roi) soleil // Des fleurs pour fêter le printemps // L’amour, roman // C’est que tu sois le couteau avec lequel je fouille en moi // Vous êtes sûrs que c’est le printemps ? // Une semaine épuisante…

moi après moisSur une idée originale de Moka

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En mots et en images : novembre 2017

Les mots…

Novembre, le mois le plus détesté (de moi en tout cas) de l’année // Ma parenthèse parisienne avec un temps acceptable. Ma dose d’inspiration et de belles choses. Un petit déjeuner en terrasse. Trois magnifiques expositions. Baguenauder un peu dans la ville curieusement calme et presque déserte. Passer à la librairie Gallimard acheter mon agenda littéraire pour placer 2018 sous les meilleurs auspices. Et puis mon rituel devenu immuable : un café au Flore // Au restaurant ce soir. Revoir des perdus de vue // Un endroit original et un burger bio à tomber // Orléans by night. Ce n’est pas Paris, mais c’est joli // Pleine Lune. Où sont les loups-garous ? // Ouvrir grand les fenêtres et laisser entrer le monde // En mode Bree van de Kamp (i.e grand ménage d’automne) (qui est aussi une forme de procrastination) // En attendant le Goncourt // Entre consternation et agacement // Moment cocooning // Les feuilles mortes se ramassent à la pelle… les souvenirs et les regrets aussi // Certains jours, je m’agace tellement que je me demande comment les autres font pour me supporter // Avoir l’impression d’être à la fois Frédéric Moreau et le regard ironique de Flaubert sur Frédéric Moreau // Tomber dans la marmite de Schokobons. Si je continue, c’est moi qu’on va manger à Noël // Heureusement il y a aussi les clémentines // S’envelopper de douceur alors que dehors il fait moche. Fantasmer un feu de cheminée, mais ne pas avoir de cheminée. Fantasmer d’un bain, mais ne plus avoir de baignoire.  Alors allumer des bougies et se glisser sous la couette avec une infusion fumante // Tu me vertiges // De Profundis ClamaviD’humeur ténébreuse et mélancolique // Beaujolais nouveau. Célébrer Bacchus, pour changer de Saturne // Se mentir à soi-même, suffisamment bien pour ne plus savoir ce qui est vrai et ce qui est faux // Ecrire, furieusement. Ce qui a visiblement des répercussions émotionnelles. Je prie mon entourage de m’en excuser // Vouloir une réponse à une question que je ne pose pas // Allez hop, dans la boîte (aux lettres) // Sursum corda // Les bonnes choses de la vie…

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En mots et en images : Septembre 2017

Les mots…

Retour en Enfer. Du coup, j’ai mis ma veste rouge Lucifer. Et ça rime // Bon, j’exagère un peu, mais je le vis de plus en plus mal. Arrivée au bout de quelque chose, envie de trouver enfin ma voie // Retenir encore un peu les beaux jours avec quelques huîtres et autres fruits de mer // De nouvelles cartes de visites // S’offrir quelques fleurs // Les dimanche matins comme ça. L’odeur des croissants chauds au four qui embaume la maison et fait oublier le gris du dehors. Prendre le temps // Celui qui n’allait pas tarder à dépasser les limites de ma patience et à apprendre à ses dépends que c’est en général une très mauvaise idée // Un week-end parisien follement excitant // Des petits déjeuner en terrasse // Un petit détour à l’Apple Store et repartir avec un i.phone neuf car ils n’ont pas pu sauver le précédent // Une chouette chambre d’hôtel avec balcon dans le Marais // Des livres et des écrivains partout // Du champagne, du vin et des amis // Une belle adresse à retenir // LA rencontre au sommet (j’en suis encore toute émotionnée) // Une belle interview dans un hôtel charmant // Ne pas oublier le Flore // La vie inimitable, quoi ! // La fin de l’été et le premier jour de l’automne. Heureusement avec le soleil… // Profiter d’un dimanche matin ensoleillé. Lire au creux des draps calée dans les oreillers // Profiter du beau temps pour flâner sur les quais au festival de Loire // Tomber par hasard sur un magasin de déco qui regorge de jolies choses. Me promettre de revenir après avoir pris quelques mesures // Un dimanche comme j’aime // Une bougie au champagne (on est snob ou on ne l’est pas) // C’est une proposition ? // De délicieuses figues fraîches cueillies dans l’arbre…

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En mots et en images : Août 2017

Les mots…

Mon Cap-Ferret, mon autre chez moi, mon Paradis // Une journée de l’autre côté du bassin // Des vacances un peu trop pluvieuses, mais : une plage sublime, des vagues, des apéritifs, des huîtres, des promenades, des gaufres, des robes et des babioles // En mille ans je ne me lasserai pas de ces vues incroyables et de la sérénité qu’elles me procurent // Et bien sûr les livres, puisqu’ils sont mon sang. Lire des heures la rentrée littéraire dans mon hamac. Aller à un apéro littéraire. Prendre un café avec un auteur que j’aime. Faire coucou au camion qui livre. Entrer dans une librairie // Le corps bronzé, la tête pleine de souvenirs, et la voiture aussi // Repartir avec plein de nouvelles choses pour mes finitions de décoration // Un petit tour à la campagne. Promenade au jardin. Voir les amis. Récupérer Claire (la machine à écrire) et Jeanne (la dame… Jeanne) // La maison. Défaire les valises, trouver une place pour les nouveautés // Essayer de reprendre le rythme // Me lancer dans les finitions décoratives. Le plaisir de trouver des jolies choses et de les installer chez soi ! // Mon Paris. Une journée à flâner et musarder. Un déjeuner au calme dans les jardins du Palais Royal et rendre visite à Colette. Faire un tour à l’Écume des pages. Me poser au Flore avec un bon roman // Soulagement intense. C’est même limite indécent… // Profiter des derniers jours de liberté…

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En mots et en images : juin 2017

Les mots…

Les dernières heures de cours de l’année. Champagne ? Ah ben non, il n’y en a plus // Une robe rouge et une chaise longue à fleurs. Et quelques autres petites choses // Chiller sur ma chilienne // Définitivement, je suis une fille de l’été, du soleil et de la chaleur // My heart belongs to London… // L’impossibilité de me projeter sur la rentrée et de faire mes choix, tant mon vrai choix serait d’être ailleurs… // Mais faire des choix quand même // L’impression d’être Sisyphe : un problème de réglé, un autre qui toque à la porte // Les jours lumineux qui annoncent l’été qui vient // Paris en coup de vent. Petit déjeuner de rentrée littéraire dans un endroit au nom parfait pour moi (le Purgatoire) et déjeuner à la maison (enfin, au Flore quoi). Les gens qui me disent qu’ils pensent à moi dès qu’ils passent devant // Quelques macarons et le new-yorker // Plus envie de discuter // En colère, et pas qu’un peu, et après beaucoup de choses (et de gens). La liste serait trop longue à faire // En révolution // Mettre les mots sur les choses // En mode Lucifer châtie les enquiquineurs. Enquiquineur 1 : check. Enquiquineur 2 : check. Enquiquineur 3… ça va être plus coton // Qué calor // Forfait // Solstice d’été // Dans la chaleur de la nuit // Ecrire…// Sisyphe, toujours : à croire que le monde entier conspire à me nuire (ou en tout cas à me faire perdre du temps) // Les jours qui passent et me rapprochent de Lisbonne // Ecrire, j’ai dit !

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En mots et en images : Mars 2017

Les mots…

Un mois qui s’annonce mouvementé // Commencer le transfert par des objets symboliques : mon manuscrit, un livre que j’ai publié, une paire de chaussures, une robe de soirée et une bouteille de champagne // Ce n’est pas que je suis superstitieuse, hein, mais tout de même // Une semaine à naviguer entre deux appartements // D. Day // ça fait du bien quand c’est terminé // Retrouver petit à petit mon quotidien // Les arbres en fleurs et la douce chaleur du printemps qui arrive // Toutes ces premières fois qui rendent la vie plus belle // Profiter du balcon. Entendre le chant des oiseaux et avoir vue sur le jardin, à la place de la rue et des voitures // Une merveilleuse journée. Des fleurs et un plateau de fromages, du soleil et plein de messages dans toutes les langues // Apprivoiser peu à peu mon nouveau décor // A l’opéra. Aïda. Sublime // Un appel venu de Portobello Road // Welcome spring // Zen, restons zen (mais c’est pas facile) // London. Standing together… // Suivre François Busnel quoi qu’il fasse (sauf à Livre Paris parce que je ne peux pas me dédoubler). Me précipiter pour découvrir America // Enjoy life with style // Un week-end intense. Paris, de belles rencontres, de beaux moments, des cocktails, des rires, Livre Paris, le Mazarine Book Day, une soirée chez Charleston, Paris by night, Le Flore, une pluie de fleurs de cerisiers, des cafés en terrasse, un petit déjeuner pour découvrir de nouvelles parutions, du champagne, des gens fascinants. Des macarons. Une valise très très lourde. Une fatigue intense. Mais un bonheur infini // Le choc des civilisations // Tout un tube de café et une bassine d’anti-cernes en intraveineuse. Ou l’inverse… // Heureusement qu’il fait beau et que je peux garder mes Aviator vissées sur mon nez // Les gens sont toqués, en fait (ce n’est pas une découverte, mais enfin, tout de même) // Du mal à revenir au pseudo-réel, même dans mon appartement tout beau // Appuyer sur la touche envoi // Ouvrir la baie vitrée et faire comme en été

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Instantané #52 (lassata sed non satiata)

Quelques photos apéritives (c’est le cas de le dire, affirmeront quelques mauvaises langues) avant le bilan mensuel de vendredi et des articles plus complets sur mes activités du week-end samedi et dimanche, un week-end chargé, excitant, exaltant, dont je reviens épuisée (surtout que le passage à l’heure d’été, dont je mets systématiquement un mois à me remettre, s’est greffé dans l’histoire) mais non rassasiée de culture, de belles rencontres (et de cocktails) ! En gros, je suis en plein choc des civilisations !