You think you’ve found the right man, but there’s so much wrong with him, and then he finds there’s so much wrong with you, and then it all just falls apart.
Je déclare officiellement ouverte la saison du « je me cale au fond du canapé enroulée dans un plaid tout doux pour regarder une comédie romantique en boulottant des chocolats ». Comme s’il fallait des excuses tiens… Bref. L’autre jour, en lisant le dernier opus des aventures de Bridget, je me suis dit que ça faisait quand même un sacré bout de temps que je n’avais pas revu ce film n°2. Aussitôt pensé, (presque) aussitôt fait.
Bridget et Mark sont heureux et amoureux. Mais les problèmes vont vite surgir, sinon il n’y aurait pas d’histoire…
Un film à la fois à mourir de rire et d’une mignonitude absolue, qui parvient à redonner du peps à l’éternel dilemme féminin : le good boy vs le bad boy. D’un côté Mark Darcy, l’homme idéal quand même, qui pardonne à Bridget toutes ses bourdes, maladresses et bêtises : parce qu’il sait bien, lui, que si elle agit souvent sottement, c’est parce qu’elle manque de confiance en elle ; et vu le nombre de bêtises que j’ai pu faire pour exactement les mêmes raisons, ne rencontrant que consternation et agacement, je dis : Mark, you Rock. Mais le problème, c’est Daniel Cleaver, toujours dans les parages : c’est un enfoiré affectif, on a envie de lui mettre des claques, mais soyons honnête, il donne aussi de furieuses envies de luxure… Moi je prendrais bien les deux (oui, je suis gourmande, au restaurant je prends toujours l’assortiment de desserts).
Un film que j’adore parce qu’il fait un bien fou, on éclate de rire à chaque scène mais on final on a aussi des étoiles de bonheur dans les yeux, la bande original donne envie de danser, les images de Londres de se précipiter dans le premier Eurostar. On en ressort reboosté !
Bridget Jones : the Edge of Reason
Beeban KIDRON (d’après le roman d’Helen FIELDING)
2004