Encore une histoire de bureau

Je l’ai déjà dit : mon bureau, c’est la pièce la plus importante pour moi, celle dont je rêvais depuis toujours, et pourtant celle que j’ai le plus de mal à m’approprier pleinement. Et celle qui a une vilaine tendance à se transformer, à mon grand désespoir, en « pièce à bordel ». Le fait est que j’y manque de rangements, et que malheureusement mon travail alimentaire prend aussi beaucoup de place.

Au mois de mai, j’avais déjà faits quelques changements très positifs. Et je suis toujours parfaitement satisfaite de cette organisation. Qui a d’ailleurs très légèrement évolué. Reste que ça ne réglait pas mon problème de rangements.

J’avais donc un buffet blanc (un buffet de salle à manger, que dans mon précédent j’avais mis dans la cuisine avec un plan de travail dessus), mais largement insuffisant. Et depuis toujours j’avais cette idée d’acheter un meuble haut, pour faire un étage supplémentaire, mais pour une raison que j’ignore je ne le faisais jamais. Mais l’autre jour, j’ai fait une story sur cette histoire de bureau suite à un challenge, et je me suis dit que quand même, c’était simple comme transformation. Sitôt dit, sitôt fait : j’ai commandé une Kallax, qui m’a été livrée samedi.

C’est peu de dire que je suis ravie : j’ai de la place pour les livres (j’ai depuis la photo remplacé les livres de mode par les livres sur la créativité, qui sont ceux dont je me sers le plus souvent) et j’ai de la place pour la décoration ! Ma machine à écrire, et surtout certaines de mes aquarelles que j’avais envie de davantage mettre en valeur.

Et j’ai eu une nouvelle idée pour avoir des rangements supplémentaires : sur le même mur que le buffet, il y a un espace, qui se trouve en partie derrière la porte, et qui est un amoncellement de cartons. C’est horrible, ça me stresse mais je n’avais pas encore eu l’idée et en fait, je vais mettre une autre Kallax, avec des modules de rangement divers, et ça sera parfait. Et mon bureau sera fini (et je pourrai déménager…).

En fait, je trouve cela hyper symbolique de m’approprier pleinement mon bureau, trouver des solutions, concrétiser les idées que j’avais eues, au moment où je suis aussi en train de concrétiser mes projets professionnels (qui vont nécessiter que je passe encore plus de temps dans mon bureau).

Instantané : une histoire de miroir

Je me suis toujours dit qu’il manquait quelque chose dans ce coin, et que ce quelque chose était un miroir. Et je savais exactement comme je le voulais : un miroir ancien, au cadre doré, un peu piqué, pas trop grand (j’ai un autre miroir ancien doré qui attend chez mes parents que je puisse le transporter, mais il sera pour la chambre).

Mardi, j’étais en train de lire sur mon canapé quand j’ai eu l’impulsion subite d’aller au dépôt-vente à côté. Chaque fois ça se passe de la même manière, en tout cas ça s’est passé comme ça pour le meuble de ma machine à écrire et pour la chaise de la chambre : je visualise plus ou moins parfaitement ce que je veux, en tout cas je veux un truc, mais je n’écume pas tous les antiquaires et brocanteurs de la région. J’attends. Et un jour, j’ai l’intuition que c’est bon, je peux aller à côté, ce que je voulais attend, ou alors j’y passe par hasard. C’est un peu de la magie genre « loi de l’attraction » mais c’est le seul domaine où ça fonctionne.

Bref. Je suis très très contente de mon miroir, je trouve qu’il va parfaitement avec l’ensemble. J’ai aussi trouvé un joli pot en laiton, je ne sais pas encore ce que je vais en faire et il ne restera pas là, mais c’est la trouvaille « bonus ».

Instantané : changement de décor

A défaut d’un déménagement (que les cartes continuent pourtant à m’annoncer comme imminent), j’ai décidé l’autre jour de complètement revoir l’aménagement du bureau. Depuis le départ cette pièce me pose problème, je n’arrive pas à y faire ce que je veux. Et dernièrement, j’en avais un peu assez de deux choses : que le canapé soit la première chose qu’on voie en entrant dans la pièce (et qu’on voie depuis le salon car la porte est toujours ouverte), et qu’en cette saison, le matin, le soleil (quand il ne boude pas) projette ses rayons directement sur l’ordinateur. En plus, la luminosité n’était vraiment pas belle, ce qui pose problème pour les visioconférences. Et l’autre soir, la solution m’est apparue : aligner les deux bureaux contre le même mur, et mettre le canapé de l’autre côté. Sitôt dit, presque sitôt fait (j’ai attendu le lendemain matin, pour préserver mon voisin, qui dort dans mon ancienne chambre, et je sais que tout s’entend). J’en ai profité pour ajouter des plantes, un petit plateau avec tous les « accessoires », et je suis ravie du résultat : je peux faire mes visios, je n’ai plus le soleil qui m’éblouit (enfin, en ce moment le problème ne se pose pas trop, me direz-vous), et c’est beaucoup plus pratique d’avoir les deux bureaux dans le même alignement, cela fait un gain de place.

Et je ne me suis pas arrêtée là : depuis deux ans je n’ai plus d’ordinateur de bureau, seulement le portable, mais au quotidien, ça manque de confort. J’ai donc investi dans tout l’assortiment support pour le surélever, clavier et souris sans fil, le tout doré pour aller avec les éléments du plateau, et c’est là encore formidable pour la place (si je suis un cours en ligne, je peux poser mon carnet de notes devant l’ordinateur, par exemple).

Bon, ce ne sont pas non plus des changements fous, mais ça m’a fait beaucoup de bien : j’ai l’impression d’avoir un nouveau bureau, et en ce moment, tout changement est bon à prendre, même minime, pour réveiller un peu la créativité et l’énergie.

Home (sweet home) tour

C’est une page blanche. De beaux volumes, clairs, lumineux, ouverts. Un espace vierge et immaculé, sur lequel je vais pouvoir écrire un nouveau chapitre de ma vie.

Au début, j’avais peur de ne pas m’y sentir chez moi. Une des raisons pour lesquelles je ne l’ai pas acheté (les autres étant l’impôt foncier et les frais de notaire). Cet appartement, je l’ai connu habité par le couple de personnes âgées adorables qui vivait là et qui a toujours été là pour moi lorsque j’avais un problème. D’ailleurs, je leur avait donné mes clés, en cas de souci. Elle est morte en février, quelques jours après mon grand-père, et lui à peine deux mois plus tard. Cela m’a fait beaucoup de peine, et je craignais d’avoir l’impression de vivre chez eux, dans l’appartement que j’ai connu lorsqu’ils y habitaient.

Mais tout de suite, lorsque je l’ai découvert enfin terminé après les travaux, j’ai senti que j’y serais bien. Et que si fantômes il y avait, ils seraient bienveillants. En fait, j’aime à croire qu’ils seraient contents que ce soit moi qui prenne leur suite et non des inconnus, et que peut-être leurs deux filles aussi. Après la mort du « papy », comme je l’appelais, l’une d’elle m’avait dit de cueillir des fleurs dans le jardin de la résidence, dont il s’occupait, en souvenir, parce que cela lui aurait fait plaisir. Alors voilà.

Trêve de sentimentalisme. J’ai découvert un appartement entièrement refait, avec goût et avec des matériaux de qualité. Mon propriétaire n’a rien fait au rabais, il a tout refait comme si c’était pour lui, et on sait que ce n’est pas si courant !

Le fait est que j’ai l’impression d’avoir toujours vécu là. Il faut dire que ce déménagement ne change aucunement mes habitudes : même adresse, donc même quartier que j’aime, je peux continuer à fréquenter tous les petits commerces qui en font l’identité. Pas de phase de découverte de ce côté-là.

A vide, cela donne donc ça :

Restait néanmoins à me l’approprier, cet appartement. Déménager, aménager, choisir l’emplacement de chaque meuble, en acheter de nouveaux, mettre en place les livres dans la bibliothèque. Un travail au long cours, un work in progress comme on dit. Comme un texte qu’on écrit : corriger, raturer, réécrire (enfin pas trop non plus sinon ceux qui déplacent les meubles vont rouspéter), ajouter de nouveaux passages, en enlever d’autres qui sont boiteux. Je suis contente du résultat, mais je sais aussi que, au fil du temps, j’ajouterai de nouvelles choses, élues avec soin.

Et je (re)découvre plein de bonheurs : celui de cuisiner dans un espace fonctionnel ; celui de vivre dans un espace qui n’est pas totalement saturé faute de place, que mon linge sèche sans encombrer les pièces à vivre ; celui de ne pas avoir à serrer mes vêtements comme des sardines dans une boîte et donc pouvoir les retrouver facilement ; idem pour les chaussures ; celui d’avoir une jolie salle de bain où la baignoire n’est pas bouchée tous les trois jours et où j’ai la place de ranger ; celui où les radiateurs chauffent correctement…

Bref, je découvre le bonheur d’un bel appartement où je me sens bien.

Je vous montre ce que ça donne pour le moment ?

La pièce à vivre

C’est évidemment la pièce maîtresse, qu’on découvre dès qu’on entre puisque l’espace est ouvert. J’apprécie sa luminosité, grâce à la baie vitrée, même lorsqu’il ne fait pas beau du tout. La priorité a été donnée aux bibliothèques, que j’ai mises en coin pour créer un espace de lecture. Sur ce coup, j’en veux quand même beaucoup à Ikea : j’ai commandé le même modèle qu’il y a 8 ans, et en fait la teinte n’est pas la même, ni la texture, ni même le système de fixation des étagères, ce qui fait que nous avons été obligés de bricoler pour fixer l’une d’elles, qui venait en plus sur l’un des anciens modèles : j’ai choisi la Billy, à l’époque, pour être sûre de pouvoir moduler à l’infini en fonction de l’espace dont je disposerais, et cela m’agace un peu que ce ne soit pas le cas. Bref. Pour le reste, j’ai conservé l’existant : la table ronde et les chaises, la table basse (même si je la changerai à courte échéance), le canapé que je changerai sans doute très bientôt mais qui pour l’instant a juste une nouvelle housse, le lustre et le lampadaire, la table de bar et bien sûr le buffet qui sert de meuble télé et auquel je tiens beaucoup (c’est un meuble de famille).

L’idée ici était de conserver les teintes neutres et brutes des murs blancs et du parquet. Priorité aux matières naturelles et au bois, donc, et à un espace le moins surchargé possible. Les touches de couleurs franches viennent des livres. J’ajouterai une plante, mais sans doute pas de cadres, pour garder un côté « épuré ». J’ai aussi renoncé au tapis, parce qu’en fait j’aime le parquet et que je ne le juge pas nécessaire.

Bibliothèques et chaises de bistrot : Ikea // Table ronde : brocante // Buffet : meuble de famille // Table basse, chaises en fer forgé, lampadaire, lustre : aucune idée // Plaid, horloge, mini-bar : Maisons du monde // Rideaux : Alinea customisé // Lightbox : le souci du détail // Vase blanc : Haviland //  Morceaux de bois brut : Botanic

La chambre

La chambre est côté salon/salle à manger (la porte que vous voyez au fond). Elle est assez grande (15m2) mais toute en longueur, et pourvue au fond d’un grand placard organisé en dressing, ce qui me change la vie. L’idée ici était d’éviter le côté « boudoir de cocotte » (ahemm). J’avais déjà les tables de chevet et les lampes (qui m’ont coûté un bras donc bon). J’ai ajouté une tête de lit en simili cuir, qui a quelque chose d’un peu masculin que j’adoucis avec les parures de lit aux teintes plus féminines, et les tableaux que j’ai eus pour noël et qui pour le coup sont totalement cocotte (de luxe). J’ai placé dans cette pièce la desserte qui me sert de bibliothèque pour les livres d’art et sur laquelle je mets aussi quelques bibelots. J’ai aussi mis, en face du lit, une console en fer forgé, qui abrite mes collections de magazines et de hiboux. Au-dessus, une belle photo de Londres.

Le but est de créer un espace chaleureux mais assez neutre, dans lequel on se sent bien (pour lire notamment, puisque l’essentiel du temps je lis sur mon lit).

Tête de lit, tables de chevet, plaid, quelques uns des hiboux, vase galets : Maisons du monde // Lampes de chevet : Keria // Desserte : meuble de famille // Console en fer forgé : je ne sais plus // Photophore vitrail : Partylite // Cadres parfum : Christiane Laborde // Hibou cale-porte : home made by maman // Il faut que je change les oreillers

Le bureau

Mon gros problème, et pourtant j’en rêvais depuis toujours. La pièce est petite, carrée, et j’y ai mis un canapé-lit pour que les gens puissent venir me voir et dormir ailleurs que soit dans mon lit avec moi, soit sur les coussins du canapé au milieu du salon. Cela prend un peu beaucoup de place. J’ai placé les bureaux (celui de l’ordinateur et l’autre) face à face, ce qui est très pratique puisque je passe de l’un à l’autre d’un coup de fauteuil à roulettes. L’ancien buffet de cuisine me sert de rangement (sur lequel j’ai placé mes livres sur la mode) mais cela ne suffit pas, j’ai mis deux cadres au-dessus du canapé et je pense en mettre deux autres au-dessus du buffet. Mais en gros, c’est pour l’instant la pièce qui me satisfait le moins, même si je l’aime beaucoup quand même : il y a encore du travail, et surtout je voudrais éviter qu’elle ne se transforme en « pièce à bordel ». Ce qui est loin d’être gagné.

La cuisine

Je découvre le bonheur d’avoir une vraie cuisine avec de vrais meubles pour ranger. Cela me change la vie, même si elle est bien plus petite au final que celle que j’avais avant. Alors après, j’ai un petit pincement au coeur de ne plus pouvoir me servir de ma cuisinière, qui est là mais sert de rangement. Par contre, je suis contente d’avoir pu conserver mon meuble-escabeau (j’y tiens parce que c’est le seul meuble que j’aie monté toute seule avec mes petites mimines sans appeler un mâle au secours), qui me sert pour mettre les plantes et de bibliothèques pour les livres de cuisines. Le lave-vaisselle en revanche, dont j’attendais beaucoup, ne fonctionne pour l’instant pas (mais j’ai bon espoir, à terme).

Ce que j’adore ici : les plaques vitrocéramique (le propriétaire m’avait dit que c’était de l’induction (c’était déjà là quand il a acheté l’appartement) mais le fait est que ça n’en est pas, et c’est tant mieux car il y a 10 ans j’ai investi dans une batterie de cuisine Ingenio de Tefal non compatible et que ça m’ennuyait d’en racheter, par contre j’apprécie la facilité pour la nettoyer lorsque le lait de mon chocolat chaud déborde) ; un très grand plan de travail, sur lequel je peux mettre ce dont j’ai besoin, et notamment mes bocaux ; et la table intégrée, qui est grande, parfaite comme « vrai » plan de travail pour moi qui suis petite et m’évite d’avoir une table en plus : elle crée une vraie séparation entre la cuisine et la pièce à vivre, tout en ne fermant pas l’espace. A l’origine ce devait plus être un bar et j’avais envisagé des chaises idoines mais finalement j’ai pris des chaises de bistrot très classiques. Par contre, le fait est que quoi que je fasse, il y a toujours beaucoup de pagaille dans cette pièce !

Chaises de bistrot et suspension : Ikea // Tajine : Emile Henry // Pots ronds, balance, ardoise de bistrot : Maisons du monde // Torchon : Jean Vier // Coupe à fruit : Arcopal vintage // Pot à ustensiles : Genevieve Lethu

La salle de bain

Un espace important pour moi, évidemment. La base est parfaite : murs blancs (comme partout), sol gris, même plan de travail que dans la cuisine, beaucoup d’étagères et des mosaïques belles à tomber. Le but : comme pour la chambre, ne pas tomber dans l’esprit boudoir, tout en féminisant avec le rideau de douche (celui que j’avais dans mon ancien appartement, qui est en tissu et donc se lave très facilement en machine), les boîtes Glossy Box pour mon bordel et Ladurée pour les bijoux, et les pots de bougies Diptyque pour les produits de maquillage. Je découvre le plaisir du sèche-serviette qui permet d’avoir des serviettes toutes chaudes quand on sort de la douche, et du grand plan de travail sous lequel glisser ma machine à laver, qui m’évite de devoir tout enlever quand je fais une lessive ! Désolée, pas moyen de faire des photos d’ensemble !

Marginalia

Je vous fais grâce des toilettes. Pour le couloir, j’ai travaillé sur les suspensions et surtout sur l’assemblage des cadres, que je possédais déjà et qui étaient disséminés deux par deux. J’ai récupéré ma console d’entrée, qui pour l’instant porte un vase de fleurs sèches (du Bassin d’Arcachon) et mon arbre à fées, mais à terme j’y mettrai une plante (probablement artificielle, à cause du manque de lumière). Dans l’entrée, j’ai mis une petite table que j’ai depuis mon premier appartement et qui peinait à trouver sa place dans le précédent ; au-dessus, une reproduction de Mucha, à laquelle je tiens fort mais qui était reléguée dans un coin de couloir sombre et caché de tous, faute d’une meilleure place. Et enfin le balcon : non seulement il est beaucoup plus grand, mais il donne sur le jardin et la cour (et non sur la rue) et il est donc au calme (j’entends le cuicui des oiseaux et non les voitures, et des notes de jazz qui s’élèvent je ne sais trop d’où), exposé Est : j’y ai mis ma table de bistrot en marbre pour pouvoir y manger aux beaux jours et y prendre mon café dès qu’il y a un peu de soleil, Olga (qui fait la gueule parce qu’elle n’a pas aimé passer l’hiver à l’intérieur) et j’achèterai très bientôt un hamac pliant pour pouvoir lire dehors, j’y mettrai aussi mes plantes aromatiques et mes tomates lorsque ce sera la saison de les planter, et je pourrai y utiliser ma plancha sans avoir l’impression soit de cuire mes crevettes au gaz d’échappement, soit que ça sent le barbecue dans tout l’appartement pendant une semaine !

Suspensions : Maisons du monde // Bibliothèque : Ikea // Meuble d’entrée en fer forgé et cadres : je ne sais plus // Meuble de couloir en bois : brocante // vase en bois : Botanic

Un mot « écologique » pour terminer : l’appartement est très bien isolé et exposé, ce qui me change et devrait me permettre de faire des économies, d’autant que les radiateurs, électriques (l’immeuble n’est pas raccordé au gaz) sont à inertie (dans l’appartement précédent, j’ai demandé à ce qu’ils soient changés quand je me suis installée et la propriétaire a fait remettre… des grille-pain, donc non seulement j’avais toujours froid mais ça me coûtait un rein à chaque facture) et je devrais donc, malgré l’espace supplémentaire, faire des économies. J’ai aussi fait le choix de mettre des ampoules à LED dans tous les luminaires, ce qui représente un investissement au départ mais devrait là encore me permettre de réduire ma facture, et ça éclaire aussi bien (juste j’aurais aimé qu’ils fassent de vrais modèles flamme pour mon lustre de salle à manger).