Cela faisait un petit moment que j’avais envie d’une presse à fleurs : j’adore faire des créations avec les fleurs séchées, mais les mettre dans un gros livre a ses limites, et notamment celle de devoir se limiter aux petites fleurettes : c’est assez difficile d’obtenir un résultat satisfaisant avec les plus grosses. Or, moi, j’ai envie de travailler avec plein de fleurs différentes. J’avoue aussi que l’idée d’aller cueillir les fleurs, et ensuite de les mettre dans la presse, je trouve cela très poétique.
La presse à fleurs en bois était donc ma deuxième récompense pour le NaNoWriMo, lorsque j’aurais atteint 5000 mots, ce que j’ai fait dès le quatrième jour (j’ai fait exprès de mettre des petites récompenses très rapprochées au début). J’ai donc commandé ma presse, et j’ai choisi un modèle avec des élastiques plutôt qu’avec des vis de serrage, car je n’ai pas trop confiance, j’ai l’impression que ça se casse facilement. Elle était livrée avec tout un assortiment de matériel, et j’étais donc parée pour l’expérience.
Je suis descendue cueillir des fleurs dans le jardin (ce n’est malheureusement pas la saison où il y en a beaucoup), j’en ai cueillies aussi au travail, et j’ai profité aussi de mes bouquets de pomponettes, et de mon gros pot. Je n’ai pas pensé à utiliser les géraniums, j’espère qu’il tiendront jusqu’à la prochaine fournée (je n’ai plus de plaque de séchage ni d’éponge).
Maintenant, il n’y a plus qu’à être patiente (ce qui n’est pas ma qualité première, on le sait) et attendre quelque temps pour découvrir le résultat !