La morsure de la goyave, de Maria Eugenia Mayobre : femmes sauvages
Chaque femme de ma famille ressemble à une poupée russe, avec différentes couches de personnalité sous une façade apparemment creuse,Lire la suite
Happycultrice. J'habite poétiquement le monde.
Chaque femme de ma famille ressemble à une poupée russe, avec différentes couches de personnalité sous une façade apparemment creuse,Lire la suite
A la lecture des procès en sorcellerie et des manuels de démonologie, se dessine en creux un portrait de femmeLire la suite
Quand je suis née, le mot désignant ce que j’étais n’existait pas. Ils m’appelèrent donc nymphe, présumant que je seraisLire la suite
Au milieu de ce monde chaotique, quelque chose de puissant nous appelle. En tant que femmes, notre place est enLire la suite
Puisse cette lumière qui surgit, nous éclairer sur le chemin de l’harmonie, puisse l’eau fraîche régénérer le sol et nosLire la suite
Ce serait le happy end d’une vie d’orages, de chasses, de fuites. Je changerais enfin de rôle : je neLire la suite
Comme je suis un peu obsessionnelle et que lorsque je commence à creuser un sujet, on ne m’arrête plus, jeLire la suite
Le visage de la lune me nargue. Bientôt je redeviendrai l’enfant fébrile, redoutant l’humeur noire maternelle, prête à exploser. LongtempsLire la suite
L’art est important. Il marque les commémorations des raisons de l’âme ou d’un événement particulier, quelquefois tragique, du voyage deLire la suite