En mots et en image : Mars 2018

Les mots…

Mars, mois du printemps et de mon anniversaire // Les figures du discours amoureux selon Barthes. Se sentir normal dans sa folie // J’aime // Soirée entre amis // Rires et joie // Il est où ton amoureux ? // Giboulées (dehors et dedans) // Jamais je n’ai autant écrit de ma vie // Home // Un autre titre (qui ne fait pas l’unanimité, mais passons) // Dans ma bulle // Amour et psychoses // Ecrire et aimer, (et lire), cela me suffit pour vivre // Ecrire dans mon lit grâce à mon nouvel ordinateur portable que j’aime à la folie // Obsession // 40000 mots // Comme un air de printemps avec quelques jours d’avance // Prendre soin de moi pour cette nouvelle étape // Un week-end fou // Du soleil, de la pluie et de la neige // Une inauguration pleine de (beau) monde // Une journée d’anniversaire toute douce, un petit déjeuner au Flore, les allées de Livre Paris, de belles discussions, des dizaines de messages mais surtout un, de l’aligot à gogo // Un tournoi des influenceurs // Un troisième Mazarine Book Day et un nouveau surnom, le trèfle à quatre feuilles. Espérer un grand chelem // Un joli petit restaurant à Odéon // Une nuit folle à la Coupole, du champagne, du gesticulage sur le dancefloor et s’amuser devant le photographe // Merci pour ces moments. C’était doux // Mon (roi) soleil // Des fleurs pour fêter le printemps // L’amour, roman // C’est que tu sois le couteau avec lequel je fouille en moi // Vous êtes sûrs que c’est le printemps ? // Une semaine épuisante…

moi après moisSur une idée originale de Moka

Les images…

 

En mots et en images : Mars 2017

Les mots…

Un mois qui s’annonce mouvementé // Commencer le transfert par des objets symboliques : mon manuscrit, un livre que j’ai publié, une paire de chaussures, une robe de soirée et une bouteille de champagne // Ce n’est pas que je suis superstitieuse, hein, mais tout de même // Une semaine à naviguer entre deux appartements // D. Day // ça fait du bien quand c’est terminé // Retrouver petit à petit mon quotidien // Les arbres en fleurs et la douce chaleur du printemps qui arrive // Toutes ces premières fois qui rendent la vie plus belle // Profiter du balcon. Entendre le chant des oiseaux et avoir vue sur le jardin, à la place de la rue et des voitures // Une merveilleuse journée. Des fleurs et un plateau de fromages, du soleil et plein de messages dans toutes les langues // Apprivoiser peu à peu mon nouveau décor // A l’opéra. Aïda. Sublime // Un appel venu de Portobello Road // Welcome spring // Zen, restons zen (mais c’est pas facile) // London. Standing together… // Suivre François Busnel quoi qu’il fasse (sauf à Livre Paris parce que je ne peux pas me dédoubler). Me précipiter pour découvrir America // Enjoy life with style // Un week-end intense. Paris, de belles rencontres, de beaux moments, des cocktails, des rires, Livre Paris, le Mazarine Book Day, une soirée chez Charleston, Paris by night, Le Flore, une pluie de fleurs de cerisiers, des cafés en terrasse, un petit déjeuner pour découvrir de nouvelles parutions, du champagne, des gens fascinants. Des macarons. Une valise très très lourde. Une fatigue intense. Mais un bonheur infini // Le choc des civilisations // Tout un tube de café et une bassine d’anti-cernes en intraveineuse. Ou l’inverse… // Heureusement qu’il fait beau et que je peux garder mes Aviator vissées sur mon nez // Les gens sont toqués, en fait (ce n’est pas une découverte, mais enfin, tout de même) // Du mal à revenir au pseudo-réel, même dans mon appartement tout beau // Appuyer sur la touche envoi // Ouvrir la baie vitrée et faire comme en été

Sur une idée originale de Moka

Les images…

Instantané #52 (lassata sed non satiata)

Quelques photos apéritives (c’est le cas de le dire, affirmeront quelques mauvaises langues) avant le bilan mensuel de vendredi et des articles plus complets sur mes activités du week-end samedi et dimanche, un week-end chargé, excitant, exaltant, dont je reviens épuisée (surtout que le passage à l’heure d’été, dont je mets systématiquement un mois à me remettre, s’est greffé dans l’histoire) mais non rassasiée de culture, de belles rencontres (et de cocktails) ! En gros, je suis en plein choc des civilisations !

Boire un café au Flore

café de FloreY a-t-il plus snob ? Le café est hors de prix, pas meilleur qu’ailleurs, c’est bruyant et blindé de touristes (ou de membres du petit monde des lettres qui s’adonnent au même snobisme mais ne sont pas toujours très bien lunés), la terrasse n’est pas la plus agréable de Paris*. Bref, il n’y a aucune raison objective d’aller au Flore, si ce n’est que les serveurs sont plutôt dans la moyenne haute question amabilité (je rappelle qu’une fois, ils m’avaient précieusement gardé mon bonnet qui, aussi snob que sa propriétaire, avait décidé d’y passer la nuit et s’était donc caché au moment où je le cherchais pour partir — le coquin).

Oui, mais voilà, il y a une mythologie du Flore, et on ne peut rien contre les mythes. Malgré les touristes, il règne une ambiance totalement parisienne, totalement germanopratine. On sent par-dessus son épaule, alors qu’on a sorti un livre ou que l’on est en train de griffonner quelques idées dans un carnet Moleskine, l’esprit de Huysmans, Apollinaire, Aragon, Breton, Bataille, Desnos, Queneau, Leiris, Sartre, Beauvoir… On espère y croiser les écrivains encore vivants qui le fréquentent, eux aussi appelés par le mythe… On a l’impression d’être dans une page de roman…

Alors oui, c’est snob. Mais c’est merveilleux.

* Il faudra un jour que je réfléchisse à cette question : quelle est la terrasse la plus agréable de Paris ?

En mots et en images : février 2017

Les mots…

Toujours dans les cartons. Le rangement, c’est maintenant // Des crêpes // Memories // Vivement que tout ça soit terminé et que je sois dans mon nouveau décor // In the mood for Portugal // Les jours coulent comme l’eau entre les doigts ouverts. L’argent aussi, soit dit en passant // Ma déesse qui m’attend patiemment // A force de voyager il finira bien par trouver sa maison // Une nouvelle publication pour avril. Toujours pas mon roman, mais ça fait plaisir // Un an… // Une journée à Paris. Un peu de rive droite. Descendre tout le boulevard saint-Germain. M’arrêter bien sûr au Flore. Goûter chez Ladurée d’une religieuse à la rose et d’un champagne sans alcool très bon. Passer chez Diptyque m’acheter de jolies choses pour l’appartement. Rentrer reboostée // Dites, ma voiture, vous la refaites en entier ou quoi ? // Réponse : oui. Ils ont mis du temps, mais je récupère ma chérie propre comme un sous neuf et sans plus aucune rayure, et ça, c’est chouette, même si c’est pour m’en séparer // Hot as Hell // Le réel, c’est compliqué et je ne sais pas trop faire avec. Vivement que je puisse à nouveau me consacrer exclusivement au monde non-réel // En mode démone de l’Enfer. Mais pourquoi en ce moment les gens se liguent pour me faire sortir de mes gonds ? // Ça y est, ma petite voiture est partie. Elle va me manquer, quand même // By train // Campanule // Ma déesse // Faire les magasins d’usine. Madeleines et porcelaine // ttttttssssss // Fais comme Marcel Proust. Une petite madeleine trempée dans du thé // Sur la route avec mon petit bolide rouge // Home (mais plus pour longtemps) // Des bibliothèques toutes vides, ça fait bizarre. Un mur de cartons de livres aussi // Des listes et des listes d’achats. Et au milieu, réserver un week-end à Paris // Signer un nouveau contrat d’auteur dans un rayon de soleil // Une nouvelle petite plante // L’autre jour des crêpes // Les clés de ma nouvelle vie

moi après moisSur une idée originale de Moka

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En mots et en images : mars 2016

Les mots…

Et maintenant commence l’attente // Un temps à arcs-en-ciel // Si un prix de la digression existait, je pourrais postuler sans problèmes // Moi, je voudrais un peu plus de fantaisie // Boobs ? // La perte de temps institutionnalisée, à nouveau. Ecrire pour échapper au blablabla // Un calendrier plein d’hommes dénudés pour pouvoir mancrusher toute l’année (merci Angéla !) // Un bouquet de fleurs blanches // Lost in literature // Tempête de neige // Visioconférence // La tête comme une pastèque // Un joli colis paquet plein de goût (merci Syl) // Un loooooong week-end comme j’aime // La vie au ralenti… comme ça a du bon de ne rien faire // Une boîte aux lettres pleine de promesses (merci les gens) // Promenade du dimanche sous le soleil. Les arbres dont les fleurs s’épanouissent timidement côtoient ceux qui sont encore dans leur nudité hivernale. Et c’est beau, cette poésie du monde // Excitée comme une puce // Happy Birthday to who ? To me ! Plein de messages gentils, ça fait plaisir // Girls just want to have fun // A nous deux, Paris // Un week-end mémorable qui restera dans les annales // Un déjeuner avec des filles chouettes // Un Mazarine BookDay épuisant mais exaltant, plein de belles découvertes et de coups de coeur, et la jolie idée que peut-être bientôt un de « mes » auteurs publiera son texte. Et puis l’Alcazar, un endroit qui ressemble au paradis sur terre. Luxe et volupté (pour le calme, il faudra revenir) // Une soirée d’anthologie, rires, convives agités, mojitos et cosmopolitans, selfies et décalages // Un petit bonnet qui était bien snob et avait décidé de rester au Flore, mais que j’ai finalement retrouvé : mais qu’a-t-il fait toute la nuit ? // Une chambre d’hôtel sur le boulevard Saint-Germain, my beloved // Un dimanche parisien à flâner // New-Yorker et exercices d’écriture sur la table des Deux-Magots // Welcome, spring // Épuisée mais heureuse // J’aime quand ma vie est comme ça. Dommage qu’il faille revenir au quotidien… // Plus dure sera la chute. L’horreur à nouveau. J’ai mal au monde // Perdue et perplexe. Devoir me poser des questions auxquelles je n’ai pas vraiment de réponse claire. Qu’est-ce que je veux vraiment ? I am nothing but literature // Where’s my mind ? 

moi après moisSur une idée de Moka

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Mars 2016

Instantané #7

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C’était la première fois que je m’offrais un petit bout de ce qu’il est convenu d’appeler un mythe, sans doute très snob, mais je suis snob : un café à la terrasse du Flore, histoire de voir si par hasard une part du génie des habitués passés et présents ne serait pas contagieuse  (et si j’ajoute qu’à la table du Flore j’ai écrit quelques lignes dans mon carnet Moleskine, vous allez vous dire que je suis définitivement perdue… perdue, mais dans l’esprit germanopratin). Le café n’a en soi rien d’exceptionnel, mais les serveurs sont aimables et ne se prennent pas pour des divas. Ce qui nous change de certains restaurants, n’est-ce pas…