Voyage immobile

C’est à cette époque que, normalement, je commence à me projeter concrètement dans mon city trip estival. Après avoir réservé, j’achète des guides, je lis des blogs, je musarde sur instagram pour repérer ce qui me fait envie. Cette année, ça aurait dû être Séville, mais peut-être que j’aurais changé d’avis en cours de route parce que j’ai aussi de très fortes envies de Portugal et d’Italie. Bon, c’est loupé. On va rester là, il y aura sans doute un peu de Cap-Ferret et puis peut-être une excursion ici ou là (en fait j’ai ma petite idée, mais on verra) mais pas de joli voyage d’inspiration à l’étranger.

Alors, puisque je ne peux pas me projeter dans le voyage futur, je me suis replongée dans mes souvenirs de voyage. Tous ces endroits où j’ai aimé baguenauder, rêvasser, écrire… Et je me suis dit « tiens, si j’imaginais une journée parfaite à profiter des joies de la vie, qui n’aurait aucune obligation d’être vraisemblable géographiquement parlant ? ». Une sorte de voyage immobile.

Matin : s’étirer langoureusement dans le lit, écrire mes pages du matin. Prendre une douche, vêtir une robe légère et prendre un cappuccino en terrasse avec des cannoli.  Déambuler dans les petites ruelles, admirer les azulejos et les belles façades. Traverser les galeries, m’arrêter à la librairie et rejoindre le parc pour m’asseoir un moment et écrire quelques mots dans mon carnet.

Midi : déjeuner au bord du canal

Après-midi : profiter des heures chaudes pour aller faire le plein d’inspiration et de belles choses au musée ; en sortant prendre un petit goûter (pasteis de nata) avant d’aller faire un petit tour dans les magasins d’artisanat local. Puis aller faire une longue promenade au bord de l’eau et m’arrêter prendre un verre en terrasse lorsque le soir commence à tomber.

Soirée : marcher encore un peu pour profiter du soir, dîner à une terrasse, rentrer pour écrire un peu…

Voilà une bien belle journée passée à faire des choses que j’aime !

Bruxelles #4 : musées

Contrairement à ce qui s’était passé à Londres, où je n’avais pas arpenté les musées (j’avais déjà vu le British museum et le Victoria & Albert lors d’une précédente visite et les autres étaient pris d’assaut et affichaient des queues de 2h), j’ai pu à Bruxelles assouvir ma soif de culture plastique. Il faut dire que le temps n’étant pas au beau fixe, c’était parfait, d’autant que très étrangement, je n’ai à aucun moment fait la queue. Evidemment, je n’ai pas tout vu, mais j’ai pu visiter quelques lieux très intéressant.

Les musées royaux des Beaux-Arts de Belgique
Il s’agit d’un ensemble de six unités thématiques, couvrant une période allant du XVe au XXIe siècle, et s’intéressant à tous les arts plastiques, peinture, sculpture, dessin. On y trouve de grands noms,  Pieter Bruegel, Peter Paul Rubens, Jacques Jordaens, Jacques Louis David, Auguste Rodin, James Ensor, Paul Gauguin, Ferdinand Khnopff, Henry Moore, Paul Delvaux, René Magritte, Marcel Broodthaers, Jan Fabre… Le tout dans un magnifique bâtiment qui à lui seul vaut le détour. Je n’ai pas fait les six, les deux que j’ai zappé étant localisés ailleurs à Bruxelles, je me suis contentée des quatre plus importants : le musée Oldmasters, consacré aux grands maîtres du XVIe au XVIIIe siècle, avec notamment une très belle collection d’art flamand ; le musée d’Art Moderne, qui conserve des œuvres datant de la fin du XVIIIe siècle jusqu’à nos jours, mais actuellement il s’agit d’une sélection intitulée « Le Choix des Conservateurs » qui présente en alternance des œuvres selon un angle thématique, avant que le musée lui-même soit relocalisé dans les bâtiments Vanderborght ; le Musée fin-de-siècle, qui est tout nouveau et s’intéresse plus spécifiquement aux années 1900 et à l’art nouveau ; enfin le musée Magritte, mon coup de coeur, même si on n’y trouve pas les oeuvres les plus célèbres de l’artiste.
C’est, vraiment, un très très beau musée, riche et fascinant, que j’ai visité quasiment seule (je ne sais pas si c’est habituel ou dû au fait que la veille, jour de fête nationale, l’entrée était à 1€) et dont j’ai pu profiter tranquillement. Quelques petites remarques néanmoins : n’oubliez pas votre petite laine, même un jour de canicule, il y fait un froid de gueux (une notice indique que c’est pour la conservation des oeuvres et que ce n’est pas froid mais « tempéré » mais enfin il ne fait pas aussi froid dans les autres musées) ; munissez-vous impérativement du plan, c’est un peu labyrinthique, ainsi que de l’audioguide : je ne l’ai pas pris car j’ai horreur de ça, mais le fait est que les cartels explicatifs sont un peu trop succincts.

Musée Modern Museum,
Musée Oldmasters Museum,
Musée Magritte Museum,
Musée Fin-de-Siècle Museum
Rue de la Régence, 3
1000 Bruxelles

Le Musée du cacao et du chocolat
Evidemment, Bruxelles, chocolat, ça va ensemble. Néanmoins, il ne faut pas s’attendre à un immense musée : c’est tout petit, mais franchement intéressant, surtout avec des enfants : on apprend ainsi le parcours du chocolat de la cosse à l’estomac et l’histoire du chocolat (son usage chez les Aztèques, sa découverte et son importation par les Espagnols, son utilisation dans la haute-société, les grandes marques de chocolat belge). Mais le clou c’est, après ou avant la visite (selon le moment où on arrive), la démonstration de fabrication de pralines en chocolat et d’objets en chocolat, et la dégustation. Le tout pour 6€, c’est très raisonnable !

Musée du cacao et du chocolat
Rue de la Tête d’or 9,
1000 Bruxelles

Le musée Horta
Impossible de manquer ce joli musée, sis dans l’ancienne maison de l’architecte et qui contient ses meubles et d’autres d’époques : c’est le paradis pour les amoureux de l’art nouveau. C’est petit et étroit, mais résolument magnifique et inspirant, même si cela manque un peu de cartels explicatifs !

Musée HortaMusée Horta
Rue Américaine 25,
1060 Bruxelles

Le musée du costume et de la dentelle
Les musées de la mode et des fanfreluches étant une de mes grandes passions, impossible de louper celui-là, qui en l’occurrence est une véritable petite merveille, où on est extrêmement bien reçu et où on a le droit de prendre des photos pour la modique somme de 4€. Comme ailleurs, le fond tourne grâce aux expositions temporaires : celle du moment est consacrée aux crinolines et au vêtements bourgeois, avec un très bel espace consacré à la dentelle. La scénographie est très bien pensée, agréable à visiter (d’autant que j’étais absolument seule), et très ludique pour les enfants, avec des petits jeux pour reconnaître couleurs et tissus, et un espace pour se photographier en tenue d’époque !

Musée du costume et de la dentelle
Rue de la Violette 12,
1000 Bruxelles

Le musée des instruments de musique
Je vous ai déjà parlé du bâtiment, qui a lui seul vaut le déplacement. D’ailleurs, une exposition temporaire consacrée à l’Art Nouveau et à la construction de l’immeuble est visible actuellement. Mais il abrite aussi l’une des plus belles collections d’instruments de musique du monde, qui est un enchantement à voir, même si comme moi on n’y connaît strictement rien : j’ai une vision uniquement esthétique des instruments de musique, et le fait est que certains sont de véritables oeuvres d’art, que ce soit dans la section « traditions du monde » que « musique savante occidentale ». La scénographie est très réussie quoiqu’un peu sombre, et les instruments parfaitement mis en valeur.

Musée des instruments de musique
Rue Montagne de la Cour 2,
1000 Bruxelles

Comme vous pouvez le constater, il manque un incontournable : le musée de la BD. Malheureusement, le jour où j’y suis allée, il était mystérieusement fermé (alors qu’il était théoriquement ouvert, une info a dû m’échapper) et comme je ne suis pas une fan de BD non plus, je n’ai pas voulu bouleverser mon planning. Ce sera donc pour une prochaine fois (avec d’autres)

Bruxelles #3 : Art Nouveau

La Belgique figure parmi les foyers les plus actifs de ce mouvement qu’est l’Art Nouveau et qui personnellement me fascine, avec notamment l’architecte Victor Horta, et en se promenant il n’est pas rare de tomber sur de magnifiques restes, qui mériteraient parfois un petit coup de rénovation et de mise en valeur, ou qui sont parfois classées au patrimoine mondial de l’UNESCO. Je n’ai pas pu tout voir malheureusement et je me suis concentrée sur quelques points facilement accessibles et repérés dans un de mes livres : l’hôtel Gresham, l’ancien grand magasin « Old England » qui abrite aujourd’hui le MIM, le square Ambiorix avec notamment la maison du peintre de Saint-Cyr, et le quartier saint-Gilles autour du musée Horta (mais malheureusement il pleuvait, je n’ai pas pu en profiter autant que j’aurais voulu). Mais en fait on pourrait organiser tout un voyage thématique sur l’Art Nouveau à Bruxelles

Bruxelles #2 : en promenade

Ce que j’ai adoré à Bruxelles, c’est me promener dans les rues, plus ou moins au hasard, et d’admirer les façades des immeubles. Par certains côtés et dans certains quartiers, j’ai trouvé que cela ressemblait assez à Prague, de par la multitude de détails architecturaux, sculptures, peintures, dorures. J’ai beaucoup aimé aussi rencontrer la bande-dessinée un peu partout. Alors, souvent, j’ai laissé errer mon objectif au gré des jolies choses rencontrées :

Il ne faut pas hésiter à monter la montagne du parc à l’or du soir qui tombe : c’est sublime (et on brûle les calories des frites) :

Bruxelles

Mais musarder au gré du vent ne suffit pas : il y a bien sûr des incontournables, à commencer par la Grand Place, sans doute l’une des plus belles du monde (en lien le petit film que j’ai fait). Il faut la voir de jour, mais aussi y passer à la tombée de la nuit, c’est tout simplement magique et féerique :

Non loin de là, l’incontournable Manneken Pis. Je l’ai vu deux fois : le jour de mon arrivée, il portait un petit costume car c’était la Fête Nationale, et la veille de mon départ, il était tout nu. N’hésitez pas non plus à aller voir son frère, le Jeanneke Pis (qui malheureusement est difficile à photographier car protégé par une grille), dans une petite impasse donnant sur la rue des bouchers :

Autre incontournable : les Galeries royales saint-Hubert, l’équivalent de nos passages parisiens : c’est une véritable merveille !

Le quartier royal, très en hauteur, est également un lieu à voir absolument, qui regorge de bâtiments somptueux, sur lesquels nous reviendrons lorsque nous aborderons les musées. A voir notamment : le mont des Arts, la place royale, et le Parc !

Evidemment, j’ai pu m’adonner à loisir à mes vices photographiques, et en priorité les horloges (avec une originalité : un cadran solaire) :

Et, dans une moindre mesure, les lanternes :

Voilà, c’est tout pour aujourd’hui, mais je pense avoir fait à peu près le tour de l’essentiel, même s’il manque des choses, mais en 6 jours, c’est compliqué, d’autant que la météo ne m’a pas aidée : il manque notamment l’atomium et Laeken mais le jour où j’avais prévu d’y aller, il pleuvait des cordes…

La semaine prochaine, nous nous concentrerons particulièrement sur l’Art Nouveau

Bruxelles #1 : Mix and Tips

Me voici donc revenue de Bruxelles, ville que j’ai vraiment beaucoup aimée. Avant de passer aux articles touristiques à proprement parler, je vous propose aujourd’hui un petit article fourre-tout sur les éléments qui m’ont surprise, charmée, déconcertée, avec également quelques adresses.

– Première chose, en arrivant à la gare, il faut vous munir d’une carte de transports qui sera valable sur le tram, le métro et le bus. J’ai choisi une mobi basic de 10 voyages (14€), ce qui suffit pour une semaine, étant donné que les distances sont très petites et que l’on peut faire l’essentiel à pied : elle est nécessaire cependant pour se rendre dans les quartiers un peu plus éloignés du centre. J’ai surtout pris le tram (que j’ai d’abord pris pour le métro car il est en grande partie sous-terrain) et je l’ai trouvé assez agréable et calme : il n’est pas bondé, et dans beaucoup de stations la rame s’ouvre des deux côtés, un pour sortir et l’autre pour entrer, ce qui évite les bousculades. A noter aussi que beaucoup de stations sont dotées de sas pour passer facilement avec valises et poussettes, d’escalators et d’ascenseurs.

– J’avais loué un petit appartement situé à 5 minutes de la Grand Place, et il était situé idéalement pour pouvoir tout faire.

– Depuis le début du mois, une grande partie du centre est réservée aux piétons, ce qui est bien agréable pour se promener (moins sans doute si l’on travaille), en tout cas de jour : ils ont installé des tables de pique-nique, des terrains de pétanque et des tables de ping pong, et c’est assez amusant et convivial. Par contre cela engendre pas mal de détritus, et il faut se méfier le soir.

– Comme je l’ai dit, les distances sont vraiment réduites, et ce que j’avais cru éloigné était finalement très proche : j’ai été surprise, et du coup je suis très souvent repassée par les mêmes endroits.

– Je suis arrivée le 21 juillet, jour de la fête nationale, c’était un hasard complet mais si vous avez l’occasion, n’hésitez pas : c’est très gai d’être à Bruxelles ce jour-là.

Maintenant, quelques adresses :

Où boire ?
– Une bière : à peu près partout, dès 8h du matin, et là, à part les prix peu de surprises, ce sont plus ou moins les mêmes. Du coup, je conseillerais la Grand Place parce que la vue est à couper le souffle, et que c’est bien à peu près la seule chose que l’on peut y faire (je déconseille d’y manger : ce n’est pas très bon, pour ce que j’ai testé). Ou bien à côté des halles saint-Géry. Ou encore le mythique Falstaff :

– Un café : là encore à peu près partout, mais par contre vous aurez du mal à trouver de l’expresso, il servent un café allongé avec des dosettes de lait (ou un pot), et en plus une mini tablette de chocolat et un gâteau sec (spéculoos ou petite gaufre). C’est très surprenant, mais on s’y fait !

café

Où manger ?
(de manière générale, pas dans la rue des bouchers, c’est très joli et typique mais cher et pas bon, m’a-t-on dit, et de fait l’endroit que j’ai testé… no comment !)
– Des moules-frites : je cherche encore. J’en ai pris deux fois (dont une à Bruges) et les deux fois, j’ai été déçue, il n’y avait que de l’eau, honnêtement je les fais mieux, d’autant que je n’apprécie pas spécialement cette manie de mettre tout un tas de verdure :

Moules frites– Une fricadelle-frites : alors l’adresse incontournable paraît-il, c’est la maison Antoine, place Jourdan, mais je ne suis pas allée dans ce quartier et honnêtement, ce n’est pas mon genre de me déplacer dans un endroit exprès pour manger. J’ai donc testé une autre adresse, rue Henri Maus (à côté de la Bourse) : Fritland. Il y avait pas mal de bruxellois, donc j’imagine que c’est une bonne adresse. La fricadelle était bonne (ceci dit je n’ai pas de point de comparaison, c’était la première fois que j’en goûtais, et j’ai trouvé cela assez déconcertant d’ailleurs) et la portion de frites très généreuse. Sinon, il y en a de toute façon à tous les coins de rue !

fricadelle frites– une pizza : oui, je sais, ce n’est pas du tout typique. Mais. Un soir j’ai eu envie d’une pizza et je suis allée dans un très joli endroit, décoré avec goût et au personnel adorable : le Cheese Cake Café, place Debrouckère. Et il se trouve que j’y ai mangé sinon la, en tout cas l’une des meilleures pizza de ma vie, entièrement faite maison avec des produits frais. Il n’y a pas de photo de la pizza :

Cheese Cake Café– Sur le pouce : le Jat café, 28 rue de Namur (près de la place Royale). Cela reste des sandwichs et des salades, mais très frais et très bon.

Jat café

– Une gaufre : là encore vous en trouverez partout, mais franchement, il faut impérativement aller chez Dandoy, rue au Beurre : j’ai pris une gaufre de Liège avec du chocolat, et j’ai bien failli avoir un orgasme gustatif. Moelleuse, fondante, exactement comme j’aime, et pour un prix somme toute raisonnable (par rapport à chez Frédélian au Cap-Ferret, où elles sont à tomber aussi mais plus chères)
Gaufre Dandoy

Où shopper ?
– Des produits locaux : dans n’importe quel supermarché, et notamment chez Delhaize, vous trouverez de la bière, de la pâte à tartiner Côte d’or et des biscuits Jules Destrooper à mourir. Par contre, pour les spéculoos, préférer Dandoy, et pour les chocolats, j’ai beaucoup hésité mais j’ai fini par choisir Neuhaus, je ne sais pas si j’ai bien fait !
– Des souvenirs : partout. Mais attention, c’est vraiment le royaume du kitsh, à côté Londres pourrait passer pour le royaume du bon goût. J’ai pour ma part privilégié les boutiques des musées (nous en reparlerons) même si je n’ai pas résisté à un mini Manneken Pis et quelques magnets.
– Des livres : dans les boutiques des musées, donc, et puis une très belle librairie : Tropismes, Galerie des Princes dans les Galeries royales saint-Hubert
Tropismes
– et puis, THE adresse pour les amoureux de la papeterie : le Typographe, rue Américaine (un peu plus bas que le musée Horta). C’est beau à se damner, ils ont plein de carnets et de jolies choses, j’ai craqué. Et en plus, ils ont une boutique à paris, mais je ne la connais pas encore !
Typographe

Voilà, c’est tout pour aujourd’hui ! Nous reviendrons la semaine prochaine sur les promenades, et la semaine suivante sur les musées, avant de terminer avec Bruges.

Mais avant cela, voici ma Memory Box (enfin, une partie) :

Memory Box

(sinon, pour les videos, n’hésitez pas à vous abonner à ma chaîne youtube, je ne les mettrai pas ici, ou alors seulement la video finale de « résumé ». Vous verrez, c’est un peu moins expérimental que d’habitude)

My July 2015

En mots…

Un joli mois de juillet qui commence chaudement. Très chaudement. Mes neurones se liquéfient. J’aimerais que mes cuisses fassent pareil // Continuer à avancer malgré ce putain de caillou dans ma chaussure, à défaut de pouvoir m’en débarrasser pour le moment. Per aspera ad astra. Ad augusta per angusta // Fuck (oui, je deviens vulgaire quand les gens semblent se liguer pour m’enquiquiner) // Merci pour ce moment // Shopping thérapie. Dentelles, froufrous et petits pois // Une jolie terrasse avec vue sur la Loire. Une jolie soirée // Sur la route. Tada, tada, tadadada // Premier arrêt vacances. Quelques jours à la campagne. Un pique-nique au bord de l’eau. Lire encore et encore // Une nouvelle qui me résiste. Mais c’est moi qui finis par avoir le dernier mot ! // Partir. Revenir. Repartir. Faire la valise. Défaire la valise. Refaire la valise. La vie trépidante que j’aime // Reprendre le contrôle // Sunday morning. Petit-déjeuner sur le balcon. Café, croissant et lecture // Et puis, Bruxelles. Une très belle semaine dans une jolie ville. Des dizaines de kilomètres à pieds, des promenades dans les rues, des musées, des centaines de photos, un bel appartement, de la bière, des frites et de la fricadelle, des gaufres, plein de souvenirs // But… There’s no place like home // Quelques jours à la maison avant de repartir // I believe I can fly

moi après moisBy Moka

En images…

July2015

Instantané #35 (Carte postale bruxelloise)

Grand Place

Hello Folks ! Un petit coucou de Bruxelles. C’est une ville magnifique, et les gens sont très sympas ! Pas envie de revenir… mais j’aurai plein de choses à vous raconter !