America n°2

AmericaIl y a de vraies raisons de ne pas désespérer de l’Amérique. Car si l’on peut juger la vitalité d’un pays à la qualité de sa littérature, celle-ci est assurément une nation puissante.

Comme je vous l’annonçais dimanche, le n°2 de la revue Americacréée par François Busnel et Eric Fottorino et dont Julien Bisson vient d’être nommé rédacteur en chef, vient de paraître. Et il s’agit, encore une fois, d’un excellent numéro, riche et instructif. Outre l’édito de François Busnel et les chroniques d’Olivia de Lamberterie et d’Augustin Trapenard, je vous conseille de vous précipiter notamment sur :
– Un article de Salman Rushdie, « l’ami imparfait », en version bilingue, dans lequel l’écrivain étrille quelque peu le désir aveuglant de pureté en politique, et vante les mérites de l' »ami imparfait ». Un exercice de réflexion salutaire, qu’il faudrait que tout le monde lise.
– Une nouvelle inédite de Chimamanda Ngozi Adichie, « les Arrangements » : elle nous y raconte une journée dans la vie de Melania Trump avant l’élection, façon Mrs Dalloway. C’est totalement délicieux !
– Un entretien au long cours avec Don DeLillo, ainsi qu’un extrait de son roman à paraître à la rentrée littéraire, Zero K.

Tout le reste est également riche et passionnant : l’hilarante chronique du poisson rouge, les indispensables de la littérature américaine à savourer pendant l’été et notamment le lauréat du premier Prix America, William Finnegan, une nouvelle de Laurent Gaudé qui revient sur l’invention de fil barbelé, un voyage dans le mythique parc national de Yellowstone avec Joël Dicker, un article de Douglas Kennedy sur La Garçonnière de Billy Wilder, un extrait en avant-première d’un des romans de la rentrée, Underground Railroad de Colson Whitehead, un dossier sur Martin Eden de Jack London… Et bien sûr, à nouveau, infographies, cartes et chronologies !

Bref : encore une fois, que du bon dans ce mook qui donne la parole aux écrivains pour nous parler du monde. Parfait pour les longs voyages en train ou en avion, ou pour les heures de chaise longue au soleil…

America – L’Amérique comme vous ne l’avez jamais lue
n°2 – été 2017
Trimestriel. 19€

America, par François Busnel

Nouveaux magazines : America et Enjoy life with styleA l’ère du buzz, de la rumeur considérée comme une information, de la pensée ramenée à un slogan, des généralisations hâtives, des analyses d’experts qui ne mettent plus les pieds sur le terrain et de ce que les séides du nouveau Grand Sachem américain ont baptisé « faits alternatifs », bref, à l’heure où nos repères volent en éclat, il nous a semblé nécessaire de retrouver le temps long de l’enquête et du reportage. Nous avons donc proposé aux écrivains de devenir les mémorialistes de cet étrange règne.

Evidemment, dès que François Busnel propose quelque chose de nouveau, je me précipite. America, son dernier projet en date, n’a donc pas fait exception à cette règle gravée dans le marbre.

America est un mook, c’est-à-dire une parution à mi-chemin entre la revue et le livre, proposée par François Busnel, donc, en collaboration avec « Le 1 » et Eric Fottorino. Trimestriel, il ne paraîtra que pendant 4 ans, soit le mandat de Donald Trump. L’idée ? Des reportages, des enquêtes, des grands entretiens, des chroniques, signés par de grands écrivains français et américains, et qui donnent leur vision de l’Amérique, qui n’est pas celle de Trump. On trouve ainsi un grand entretien avec Toni Morrison, une très belle interview d’Obama sur la littérature, une visite de LA avec Alain Mabanckou… mais aussi une nouvelle inédite de Francis Scott Fitzgerald, un extrait du prochain Jay McInerney, un dossier sur Moby Dick, et les chroniques d’Olivia de Lamberterie et d’Augustin Trapenard. Et tant de choses encore !

Il est indéniable que nous avons affaire à une revue d’une extraordinaire richesse : les angles et les sujets sont variés, mais les articles sont tous conduits par la volonté d’apprendre et de laisser la parole à des gens intelligents et inspirants ; chaque sujet est longuement traité, développé, et on apprend vraiment beaucoup de choses : je recommande donc sans aucune réserve (même pas concernant le prix car très franchement, elle les vaut largement) cette revue qui permet de résister par la culture. Parce que, peut-être, dans le chaos actuel, seule la littérature peut nous sauver !

America – L’Amérique comme vous ne l’avez jamais lue
Trimestriel. 19€

Bloc Notes

Le Mainichi, le journal qui fleurit

mainichi-journal-japonais-plante_6Une idée poétique comme seuls les Japonais peuvent en avoir : transformer un quotidien (et ses mauvaises nouvelles) en fleurs ! Non, je ne plaisante pas : c’est ce que propose vraiment le Mainichi, l’un des plus grands quotidiens japonais : après l’avoir lu, au lieu de le jeter, on l’émiette, on l’enfouit dans de la terre légèrement humide et quelque temps plus tard, abracadabra, à vous roses, coquelicots ou marguerites. C’est quand que le Monde nous propose la même chose ?

Grand Prix Poésie RATP 2017

poésieratpVous vous sentez une âme de poète et rêvez que tout le monde puisse vous lire ? Alors le Grand Prix Poésie RATP, dont le jury sera pour cette 3e édition présidé par Augustin Trapenard, est fait pour vous : vous aurez un mois, du 15 mars au 15 avril 2017, pour déposer votre texte sur le site dédié : ratp.fr/grandprixpoesie et ainsi avoir peut-être la chance de voir votre œuvre affichée pendant les deux mois d’été sur l’ensemble du réseau RATP. Ce qui revient à être lu par des millions de voyageurs par jour !

Salon du livre rare et de l’objet d’art 2017

salonBibliophiles et amateurs de vieux papiers, à vos agendas : le 29e salon du livre rare et de l’objet d’art aura lieu du 7 au 9 avril 2017 au Grand Palais. Il mettra à l’honneur les relations franco-américaines, avec notamment un hommage au centenaire de l’entrée en guerre des USA lors de la Première Guerre mondiale. L’invité d’honneur sera le musée Franco-Américain  du château de Blérancourt qui présentera des ouvrages anciens franco-américains et des gravures illustrant le rôle majeur des bibliothèques américaines en France après la 1ère Guerre. Plus d’infos ici !

Je suis moi

jesuismoiUn très beau film, en compétition pour le Nikon Film Festival dont le sujet était cette année « je suis une rencontre » : Je suis moi, une video touchante et originale sur le fait d’être soi, l’histoire d’un jeune homme atteint d’un cancer et le rêve qu’il veut accomplir… n’hésitez pas à regarder et à voter, avant mercredi !

21cm de plaisir avec Augustin Trapenard

21cmJ’ai bien compris un truc : il n’y a que la taille qui compte […] Rien n’est assez grand pour la littérature.

Si vous n’avez pas suivi, il se trouve que je suis en froid avec Canal+, chaîne sur laquelle je n’ai pas ne serait-ce que zappé depuis le 1er septembre. Mais. Cas de conscience : je voulais absolument voir cette nouvelle émission, d’autant plus que j’en ai lu le plus grand bien comme le plus grand mal. Bref, j’ai profité du mois gratuit proposé par mycanal pour y jeter un oeil (consciente du fait que si j’avais un coup de foudre, j’étais mal attendu qu’il est hors de question que je m’abonne, mais c’est une autre histoire).

Bref, 21cm est la nouvelle émission littéraire de Canal+, présentée par Augustin Trapenard, et si le titre vous fait penser à tout autre chose qu’à une émission littéraire, ce n’est pas que vous avez l’esprit mal placé, c’est fait pour, comme nous l’explique le prégénérique de la première, sous forme de passage de relais drôlissime entre un Frédéric Beigbeder à l’agonie au fond de son lit, mesurant la taille d’un roman de Salinger, et le sémillant Augustin.

Le ton est donné : on est bien dans une émission littéraire, mais dans le genre plutôt rockn’roll, et d’ailleurs l’invitée fil rouge de cette première n’est autre que la divine Patti Smith, que l’on retrouvera, après son portrait en images, à trois occasions sous forme d’entretiens. Un premier, extérieur jour, nous propose une promenade dans le cimetière du Montparnasse, à la recherche des tombes des auteurs qui lui tiennent à coeur. Un deuxième, intérieur jour, est filé directement chez Augustin, au milieu des milliers de livres de sa bibliothèque et sous l’oeil de son chien Jeff : l’occasion, comme entre amis, de chanter ensemble Because de Night ; et, tradition très sympathique, Augustin offre un livre à tous les gens qui passent chez lui : pendant que Patti choisit (ce sera Le Funambule de Genet), Jeff bouffe en loucedé les pâtisseries orientales qui étaient sur la table basse. Enfin, séquence intérieur nuit, plus intimiste.

Très séquencée, l’émission propose entre ces entretiens des pastilles qui permettent de garder un rythme soutenu et dynamique : les conseils de lectures en 21 secondes et filmés par eux-mêmes de gens aussi divers que Marc Lavoine, Karl Lagerfeld, Nora Hamzawi ou encore Joann Sfar, une battle avec Antoine de Caunes qui nous permet au passage d’admirer les tatouages d’Augustin, et une petite séquence « révisez vos classiques » qui montre l’actualité de ces derniers, ici en mettant en parallèle Donald Trump et certains personnages de méchants chez Dickens.

L’émission se termine avec la dédicace de l’invité.

Verdict ? Et bien vous l’aurez compris, j’ai adoré. C’est le type d’émissions culturelles dont je voudrais plus à la télévision, dans le même style GlamRock intelligent et mordant que l’on trouve dans des revues comme Vanity Fair : à la fois drôle et émouvante, rythmée, décalée, 21cm apporte vraiment quelque chose de nouveau qui change des habituelles émissions en plateau, passionnantes mais parfois un peu planplan (entendons-nous bien : je ne me lasserai jamais de François Busnel, Christophe Ono-dit-Biot et Eric Naulleau, mais ça fait du bien de changer un peu de concept, de temps en temps). Augustin Trapenard est en outre un interviewer hors pair, qui a l’art de la question qui fait mouche, passant du léger au profond et abordant avec son invitée des sujets aussi divers que la poésie, la photo, la mort avec des questions qui ont l’air d’être improvisées au gré des circonstances. Et puis, on voit qu’il s’amuse follement et ça, ça n’a pas de prix !

Mon seul regret est finalement que cette émission ne soit pas disponible pour tous, puisqu’à la fin de mon mois d’essai je ne pourrai plus la regarder, sauf si comme je l’ai entendu elle est mise en ligne sur Dailymotion (il y en a pour l’instant de très larges extraits) (oui parce que je ne suis pas toquée au point de m’abonner juste pour cette émission, aussi excellente soit-elle) (déjà que je dis du bien de Canal+ dans un article, on ne va pas abuser). En fait, c’est typiquement le genre de choses que je verrais bien sur Paris Première !

Le Paradis des animaux, de David James Poissant

Le paradis des animauxAu cas où tu l’aurais oublié, il y a un alligator à l’arrière de ton pick-up !

Ce recueil de nouvelles était estampillé « coup de coeur d’Augustin Trapenard » : il n’en fallait guère plus pour me tenter, je l’avoue, et j’ai donc succombé à la tentation.

Contrairement à ce que le titre pourrait laisser penser, les douze nouvelles qui composent ce recueil ne sont pas animalières. Si les animaux sont toujours présents, c’est comme fil rouge, présence tutélaire plus ou moins visible et évidente. Celui qui est au coeur des histoires qui nous sont racontées, c’est l’homme, l’être humain, avec ses faiblesses et ses défauts. Des gens ordinaires qui ont besoin d’amour.

Les histoires sont toutes très différentes, mais toutes mettent en scène des gens simples, parfois un peu paumés, dans une Amérique profonde. Des moments de basculement, des couples à la dérive. Le tout avec une grande maîtrise de la narration et des émotions : certaines situations un peu surréalistes peuvent à l’occasion prêter à sourire, certaines sont très fortes comme « Remboursement », d’autres dévastatrices, comme la première partie de « La Géométrie du désespoir ».

Moi qui aime les nouvelles, j’ai été servie : je découvre avec David James Poissant un auteur remarquable dans le genre qu’il maîtrise parfaitement. Je recommande chaudement !

Le Paradis des Animaux
David James POISSANT
Traduit de l’américain par Michel Lederer
Albin Michel, 2015

HeForShe : hommes et femmes, nous sommes tous féministes !

Tout le monde se souvient du formidable discours d’Emma Watson qui avait lancé à l’échelle internationale la campagne HeForShe, promouvant l’engagement des hommes dans la lutte pour l’égalité des sexes. La semaine dernière le Comité ONU Femmes France a annoncé le lancement officiel du mouvement dans l’hexagone, et à cette occasion, de nombreuses personnalités masculines se sont engagées.

Et c’est important, je trouve, parce qu’il est nécessaire de sortir le mouvement féministe du ghetto dans lequel il s’enferme parfois, transformant la lutte pour l’égalité entre les hommes et les femmes en guerre des sexes. Or les hommes ne sont ni nos ennemis, ni même nos adversaires : en luttant pour l’égalité, c’est aussi pour eux que nous luttons. Le mouvement pour les droits des femmes doit cesser d’être perçu comme une lutte menée seulement par et pour les femmes et les filles, contre les hommes.

L’égalité des sexes n’est, justement, pas une question de sexe : c’est une question humaine, humaniste même.

Lancé par ONU Femmes, l’entité des Nations Unies pour l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes, HeForShe se veut donc un grand mouvement international de solidarité en faveur de l’égalité femmes-hommes qui encourage les hommes à s’exprimer et à agir contre les inégalités subies par les femmes.  L’enjeu est aussi de sensibiliser les hommes à leur rôle pour faire changer les comportements, dénoncer les discriminations ou les propos sexistes et agir pour que l’égalité soit au bénéfice de tous.

Après le lancement médiatique le 27 mars lors du Forum Elle Active , en présence du réalisateur Stéphane Foenkinos, diverses initiatives sont promues telles qu’un concours vidéo étudiant « Ton court pour l’égalité » et une conférence mettant en avant les chercheurs engagés pour l’égalité. Dans les entreprises, notamment celles qui ont signé les Women Empowerment Principles (WEP) récemment, il y aura des mobilisations en interne qui se déclineront de façon indépendante et créative.

Tout comme Emma Watson, qui avait lancé la campagne l’an passé, des acteurs, animateurs, réalisateurs, politiques, hommes d’affaire ou encore écrivains se sont engagés sur la question de l’égalité femmes-hommes (Augustin est particulièrement choupi sur cette photo d’ailleurs, je trouve, non ?) :

Crédit photo : ©SOPHIE-BIGO

A votre tour, rejoignez le mouvement #HeForShe et signez  l’engagement HeForShe sur le site : http://www.heforshe.org/fr#take-action

Bloc notes de rentrée

Beaucoup d’infos en cette veille de 1er septembre, qui pour beaucoup sonnera l’heure de la rentrée. Mais focalisons-nous sur la rentrée culturelle ! Alors, pour nous mettre un peu de baume au coeur :

* L’album de la rentrée : celui d’Angus et Julia Stone sorti chez Discograh le 29 juillet. Une belle réussite folk, qui donne envie de reprendre la route et met encore un peu d’été dans ce mois de septembre !

Angus et Julia Stone

* Si vous aimez la photographie, ce site devrait vous intéresser : Meet the artist. En quelques mots, il s’agit d’une nouvelle galerie qui permet de découvrir des artistes photographes de talent et propose des tirages de qualité à des prix abordables, dans l’objectif de rendre la photographie plus accessible et révéler de nouveaux talents. Une fois qu’on a sélectionné l’oeuvre qui nous intéresse, par artiste ou par thème, on choisit le format, puis la finition, et c’est bon. Les tirages sont limités, mais les quantités sont supérieures à ce qui est proposé d’habitude, ce qui permet des prix moins élevé. Ce que j’apprécie surtout, c’est la variété des choix proposés : la galerie est très riche, et il y en a vraiment pour tous les goûts, et j’ai repéré quelques oeuvres qui iraient très bien au-dessus de mon canapé !

MTA

* Comme je l’ai déjà dit je ne sais plus où, j’aime beaucoup les innovations littéraires et en particulier celles que permettent les nouveaux moyens de communication comme twitter. Et s’il y en a une qui mérite qu’on s’y intéresse, c’est celle de  @francoisVinsot, « Le roman avec titre » : tout un roman écrit par tweet. Si vous avez du mal à suivre, l’auteur propose de vous l’envoyer par mail !

* Toujours sur twitter mais dans un tout autre registre : @DisMoiNicolas, le nouveau service interactif des magasins Nicolas pour nous guider et répondre à toutes nos questions sur le vin du Lundi au Vendredi, de 9h30 à 19h. Grâce à lui, je saurai quelle bouteille ouvrir la prochaine fois que je ferai mon risotto aux asperges !

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* Dernier compte twitter, totalement inutile mais du coup forcément indispensable : celui de Big Ben, qui sonne toutes les heures (enfin, tweete bong bong bong) : @big_ben_clock

Big Ben

* On connaissait les paniers bio, voici maintenant le panier culturel, pour les nourritures spirituelles. Kilti, qui se développe actuellement à Paris et à Lille, propose ainsi de découvrir la création culturelle locale et la diversité de biens culturels : Musique, Cinéma, Théâtre, Danse, Littérature, Arts Graphiques… Le principe est simple : tous les deux mois, vous êtes invités à une soirée festive lors de laquelle vous pourrez récupérer votre Kilti. À l’intérieur, vous trouverez différents biens culturels : un CD, un DVD, des places de concert ou de spectacle, peut-être un magazine, un livre ou même une bande dessinée, le tout dans un joli sac sérigraphié pour vous par un artiste local. Le contenu de chaque sac est une surprise. Par exemple le premier panier parisien a été lancé le 20 juin au F.G.O. Barbara et avait pour thème l’été. Il y avait à l’intérieur un CD et Vinyle de Mr Crock, un livre de Virginie Gautier les yeux fermés les yeux ouverts (Chemin de Fer), un sac sérigraphié réalisé par George Bodocan et des places pour le Summer of Loge, La Maison des Métallos, Les Solistes à Bagatelle et Les Tréteaux Nomades… Plusieurs formules (Duo, solo, mini) sont proposées. Le prochain panier sortira en octobre, vous pouvez le réserver jusque mi-septembre !

KILTI

* Envie d’un peu de douceur ? Adoptez un ours (en peluche). À l’occasion de la sortie au cinéma le 3 décembre prochain du film Paddington de Paul King, STUDIOCANAL organise l’opération « Paddington & Friends », qui permet d’aider tous les ours en peluche qui n’ont plus de compagnon de jeu à trouver une nouvelle famille aimante et attentionnée qui s’engagera à les chouchouter. Pour donner son ours en peluche, et lui offrir une nouvelle jeunesse, il suffit de partager la plus jolie photo possible de ce dernier avec le hashtag #PaddingtonAndFriends sur Facebook, Twitter ou Instagram. Paddington & Friends vous contactera et fera en sorte de lui trouver une nouvelle famille. Pour adopter un ours en peluche, rendez-vous sur http://www.paddington.com/fr/paddington-friends et remplissez votre demande d’adoption. Une fois que vous l’aurez adopté, vous serez invités à partager des photos de sa nouvelles vie avec le hashtag #PaddingtonAndFriends.

* Vous ne savez pas quoi faire ce week-end ? Vous organisez un événement et souhaitez le mettre en avant ? Alors allez sur sasagite, un nouveau site qui permet aux internautes de trouver facilement des activités a travers des catégories variés, près de chez eux ou dans toute la France, et cela grâce à des petites annonces classées par centre d’intérêt. C’est encore un peu en chantier, mais le concept est sympa !

sasagite-logo

* Depuis lundi, Augustin Trappenard a pris ses quartiers sur France Inter, et nous propose tous les jours à 9h un entretien avec une personnalité du monde de la culture. L’émission (très intéressante) s’appelle Boomerang et est évidemment à podcaster !

Le Carnet d’orquant à lui, sera désormais animé par Christophe Ono-dit-Biot, que j’ai hâte d’écouter. La Grande Librairie rouvre ses portes pour une nouvelle saison jeudi, avec Olivier Adam pour Peine perdue (que je compte lire très vite), Amélie Nothomb pour Pétronille, Joy Sorman pour La peau de l’ours (pas d’avis) et Serge Joncour pour L’écrivain national (que je compte lire très vite aussi).