Les coquillages sont une source infinie de joie !
Il y a d’abord celle de les ramasser, s’émerveiller des trésors offerts par la mer et qui sont toujours différents : je sais qu’à l’île d’Oléron je ne trouverai pas les mêmes qu’au Cap-Ferret (et c’est la raison pour laquelle je rêve d’un séjour à thème en Normandie ou en Bretagne, car je sais que j’en trouverai que je n’ai pas encore) ; et même sur l’île d’Oléron, selon les plages, les variétés ne sont pas les mêmes, c’est fou ! Cette fois, j’ai été ravie de découvrir des raretés que je n’avais pas en exemplaires nombreux dans ma collection : grains de café, turritelles, dentales, crépidules, couteaux et natices qui se font tellement rares au Cap-Ferret que je n’en avais pas trouvés depuis mon enfance ; il y a aussi ceux que je suis toujours ravie de trouver, comme les palourdes aux superbes motifs artistiques, bigorneaux et pétoncles ou débris de coquilles saint jacques (je n’en ai pas trouvé d’entière) ; et ceux que je n’avais pas, le pourpre petite pierre et la telline couleur dragée !
Dans cette première phase, il y a aussi la joie d’entraîner tout le monde dans cette chasse aux trésors, et d’en faire une activité partagée. La joie est communicative.
Ensuite vient la joie, après le nettoyage et le séchage, de les classer en les regardant un à un et de les inviter à rejoindre leurs comparses dans les bocaux. J’aime tellement les rassembler par taille, par couleur, par variété. Trouver un nouveau bocal plus grand pour certaines espèces dont la population s’est largement développée.
Et après jour après jour la joie de contempler cette collection ! Une joie enfantine mais tellement nourrissante !
Et vous, quelle joie d’enfant gardez-vous dans votre vie d’adulte ?







Belle collection !
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Ouiiiii !
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