Vous le savez peut-être déjà, sinon je vais vous l’apprendre : je voue un amour qui est presque de la dévotion aux pivoines. Et l’an dernier, pendant le confinement, alors que j’étais toute triste à l’idée de manquer la saison, il m’était déjà arrivé une histoire miraculeuse avec cette fleur (je n’ai toujours pas résolu le mystère… mais le massif est toujours là).
Jeudi matin, comme la saison vient de commencer, me voilà partie acheter mon premier bouquet de pivoines de l’année. Malheureusement, lorsque je suis arrivée, le fleuriste n’avait pas encore été livré et n’attendait pas sa livraison avant la fin de la matinée, soit un bon moment après. Sachant que je n’étais pas sortie que pour ça mais un peu quand même, et qu’en plus la veille j’avais reçu un mail qui m’avait mise de mauvaise humeur (rien de grave, un truc de boulot, et dès qu’il est question du boulot je suis de mauvaise humeur), j’étais un peu chiffonnée. Mais quelque chose me disait de ne pas perdre espoir, que je les aurais, mes pivoines.
Une camionnette passe, je demande à Rodolphe si par hasard ce ne serait pas le livreur, et non, me dit-il, sa camionnette n’est pas comme ça. Il m’accompagne dehors, et me regarde, un peu interloqué (moi je ne l’étais pas : ça m’arrive tout le temps, ce genre de timing parfait) : c’était bien sa livraison de fleurs, qu’il n’attendait pas si tôt.
Alors voilà, une nouvelle fois, je vois ces pivoines comme un petit cadeau miraculeux de l’Univers ! Et une nouvelle fois j’en suis émerveillée !
Synchronicity
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Yes !
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Je veux le même bouquet !
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Ah ah ! Ton fleuriste doit en avoir 😉
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Beaux seins en arrière-plan de roses
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