Ce qui est sous nos yeux peut aussi être inaccessible. Elle est là, à cinq mètres devant moi, et quelque chose me souffle qu’elle est la femme de ma mort parce que c’est ça, non, la femme d’une vie ? On veut être avec elle quand la mort arrive. Et lorsqu’un autre devient pour nous unique, que l’on veut le garder, on se garde soi.
Comment résister à un titre pareil, assorti d’une image de couverture aussi troublante ?
Alexandre a trente ans et le curriculum amoureux d’un nouveau-né, parce qu’il cherche l’absolu et préfère ne rien vivre plutôt que se contenter du médiocre. Rosalie n’a pas tout a fait trente ans, un caractère bien trempé et un curriculum amoureux rempli de médiocres. Ils se croisent, se perdent, cherchent à se retrouver…
Une très jolie histoire, très bien menée et bien écrite, des personnages attachants, aussi dissemblables que finalement identiques. Un roman qui parle d’amour, de sa quête, et en parle bien, même si je me rend compte que j’ai trop tardé à écrire mon article, la faute à ma vie trépidante de ces derniers temps, et que je serais bien en peine de développer davantage mon avis. Mais tout de même : je garde de ce roman un souvenir vague, mais charmant…
Un jour on fera l’amour
Isabelle DESESQUELLES
Belfond, 2017
Tu as éveillé ma curiosité ! 🙂 Je vais le noter quelque part 🙂
J’aimeJ’aime
oui mais quelque part de bien visible 😉
J’aimeAimé par 1 personne
De belles séquelles donc pour Desesquelles. Théme qui fonctionne toujours, universel et infini !
J’aimeJ’aime
Oui !
J’aimeJ’aime
Bonjour et merci… Tu m’a presque donner envie de le lire en parlant du titre. Et donner lieu à penser ais-je besoin de nouveau vagues souvenir? Vraiment, merci….
J’aimeJ’aime
Mais de rien !
J’aimeAimé par 1 personne