Je ne fais que des détails, je ne fais que ça. Je compte simplement sur l’addition des détails.
Encore une fois, c’est à un voyage saisissant à travers l’oeuvre d’un artiste inclassable que nous invite le Palais de Tokyo : Jean-Michel Alberola.
Une oeuvre résolument protéiforme : à travers des peintures, des néons, des films, des textes, des objets, des installations, des sculptures, des murs peints, des éditions et des tracts, Alberola interroge le monde, évolue entre abstraction et figuratif, explore la création artistique et la politique, convoque les figures de penseurs et artistes majeurs, de Robert Louis Stevenson à Guy Debord, en passant par Franz Kafka, Karl Marx, Simone Weil.
L’ensemble est saisissant par sa diversité à la fois poétique et ludique, parfois sombre. J’ai particulièrement apprécié son travail typographique et ses clins d’oeils à la littérature !
Jean-Michel Alberola, l’aventure des détails
Palais de Tokyo
Jusqu’au 16 mai
Chouette ta chronique… Bon week end…
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Bon week-end
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Il y a deux ou trois choses qui m’ont fait sourire (ce Pablo Pikachu entre autres) mais je suis globalement passé à côté. J’étais peut-être déjà un peu fatigué par la visite des autres espaces (et notamment l’exposition Simon Evans, remarquable, en face d’Alberola, et où j’ai passé un bon moment)…
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Possible…
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