En mots…
Et puis juin… // Un peu de soleil, un passage chez le fleuriste // Des pucerons qui attaquent mes tomates // Un choc. Un séisme. L’impression d’être un mélange d’Edwy Plenel qui aurait l’influence d’Oprah Winfrey (voire de Kate Middleton) // « Ce qui ne me tue pas me rend plus fort » mâtiné de « je me hâte de rire de tout de peur d’avoir à en pleurer », et un peu de Kafka aussi (joli mélange !) // Un écrivain est-il capable d’écrire tout type de texte ? // Beaucoup de sollicitude venue de partout, et qui fait chaud au cœur, malgré les circonstances ! // Tester ma capacité de résistance // Ecrire, envers et contre tout // Montagnes russes. Entre combativité et découragement. // Enfin un peu de soleil, et les derniers cours qui arrivent. L’impression que cette année est passée vite, finalement, et être un peu déçue que la fin en soit gâchée par des conneries // « Tout m’afflige et me nuit et conspire à me nuire » // Lost in translation // Une ville magnifique, mais une beauté empoisonnée. L’impression que je ne pourrai plus jamais aimer cet endroit qui me laissera toujours un arrière-goût amer, comme une rupture amoureuse. L’impression, surtout, qu’on a sali mon âme et qu’on a tué la part essentielle de moi // Melancholia // L’été qui est là // Un cœur qui bat…
En bref : un mois quand même largement pourri mais qui se termine d’une drôle de manière, avec d’étranges fleurs sur des étagères…
En images…
En poème…
La Mort des Amants
Nous aurons des lits pleins d’odeurs légères,
Des divans profonds comme des tombeaux,
Et d’étranges fleurs sur des étagères,
Ecloses pour nous sous des cieux plus beaux.
Usant à l’envi leurs chaleurs dernières,
Nos deux coeurs seront deux vastes flambeaux,
Qui réfléchiront leurs doubles lumières
Dans nos deux esprits, ces miroirs jumeaux.
Un soir fait de rose et de bleu mystique,
Nous échangerons un éclair unique,
Comme un long sanglot, tout chargé d’adieux;
Et plus tard un Ange, entr’ouvrant les portes,
Viendra ranimer, fidèle et joyeux,
Les miroirs ternis et les flammes mortes.
Caroline Doudet 
Un mois à oublier.
Je te souhaite un bel été, rempli de rencontres et de rires.
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Merci, toi aussi
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Bouh ! Il faut souffler sur ce mois et sourire à juillet…
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On va essayer
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Que juillet soit plus serein…
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Ce n’est pas trop parti pour, malheureusement
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Aïe…
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Un mois plus que tristounet alors. Passons au suivant.
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Qui n’est pas parti pour être meilleur
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Au moins tu auras pu prendre une belle photo du miroir d’eau…. Bientôt les vacances, j’espère que ça va t’aider à oublier ce mois de juin….
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Disons que comme ce n’est pas le boulot le problème (les problèmes) ce n’est pas gagné
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Comme cela fait mal de te lire… Je te souhaite un mois de juillet plein de bonheur et d’amour. Bises
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Bises
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Ne te décourage pas, tu écris si bien. J’espère que l’été t’apportera beaucoup de joies.
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Merci
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Dur ton billet… Je te souhaite un été plus doux.
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Merci
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Les mois se suivent et ne se ressemblent pas : juillet sera forcément faste pour toi.
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Mmmmhhhhhh, forcément, ça serait bien mais ça commence mal
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Tu sembles avoir eu un mois de juin aussi charmant que le mien… 😦
… Je viens de découvrir ton mois… Et je me rends compte que nous avons eu la même envie sans nous concerter –> « Mettre notre mois en image »!… 😀
Pour ma part, cette envie vient du fait que J’ADORE prendre des photos avec mon iPhone et que je suis accro à Instagram… 😛 …. (Je vais aller visiter le tien, là-dessus) … 😉
Pourvu que « notre juillet » soit meilleur… 😉
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J’adore instagram aussi !
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quelle tristesse en lisant ton billet, et maintenant en lisant tes réponses aux commentaires je ne sais pas quoi te dire sauf que je te souhaite de passer par des moments meilleurs, il y en aura forcément! Bises
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Merci
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Bonjour, je viens de lire dans le Monde ce qui vous est arrivé. Hallucinant, absurde et injuste ! Et en plus le procès confirme bien que ce restau est à fuir comme la peste. Je vous envoie des choudoudoux xxx et que juillet, août… vous soient bien doux.
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Merci
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Courage, tu vaincras !
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J’espère
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