Soyons futiles en ce jour d’hui et parlons chiffons. Enfin, maquillage, dont Baudelaire lui-même a fait l’éloge, donc nous ne sommes pas totalement hors-sujet, n’est-ce pas ?
Donc, comme je vous le disais jeudi, je suis désormais l’heureuse propriétaire du saint Graal des beautystas, celui qui rend hystérique toute la blogosphère beauté : la palette de fards Naked 2 de Urban Decay.
Alors déjà, je trouve que c’est un très bel objet, alliant l’esthétique à la pratique : un petit plumier, qui ferme bien, avec pinceau double et miroir. Donc, très bel effet dans la salle de bain, et très pratique en vadrouille, d’autant que le nombre assez conséquent de fards qu’il contient permet beaucoup de combinaisons, de la plus simple et quotidienne à la plus glamour. Les fards sont très très bien pigmentés (je n’avais jamais testé cette marque et franchement, elle mérite sa réputation), tiennent bien, sont faciles à appliquer (on n’en met pas partout) et les couleurs sont très très jolies (oui, je sais, avec ma manie des photos filtrées, on ne les voit pas bien).
Bon, après je ne suis pas blogueuse beauté, donc je ne vais pas vous faire de vidéo démonstration pour vous montrer comment faire les associations, d’autant que c’est un peu la magie de la chose : jouer avec et découvrir ses propres harmonies, comme un peintre jouant avec ses pinceaux. D’ailleurs, comme le peintre, la femme qui se maquille se sert d’une palette… on en revient à Baudelaire.
(ce blog devient n’importe quoi. Bientôt, je vous parlerai de mon tiroir à chaussettes si ça continue)(celle qui trouve l’origine de la référence au tiroir à chaussettes gagne toute ma considération).
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