Margaux Motin est un sacré personnage, dont j’adore le blog : femme moderne, elle fume comme un pompier, boit comme un trou, jure comme un charretier (oui j’ai décidé d’être métaphoriquement stéréotypée aujourd’hui), mais toujours perchée sur des escarpins improbables que ne renierait pas Carrie Bradshaw elle-même.
Aussi, quand elle a sorti son propre livre, je me suis plus ou moins jetée dessus. Et c’est irrésistiblement drôle. Les situations du quotidien deviennent avec Margaux de véritables sketchs : un concert, la tête du matin au réveil, la visite de maman… bon moi les planches que je préfère, c’est celles avec son mari et la petite poupette. Scènes de la vie familiale quoi. Parce que Margaux est un brin déjantée et je trouve sa complicité avec son chéri, qui semble parfois jeter sur elle un regard mi-attendri mi-désapprobateur, absolument attendrissante.
Bon, le seul regret avec ce livre, c’est que quand on lit régulièrement son blog, on n’est pas surpris car il n’y a pas (ou très peu ?) d’inédits, mais ça fait quand même un bien fou !
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